Letra de Tellement
Et j’voulais tellement t’entendre respirer à côté d’moi
On était devenu assez proche mais quand t’y penses, on s’connait pas vraiment
On s’était demandé si le risque en valait la peine
On était devenu assez proche mais quand t’y penses, on s’connait pas vraiment
On s’était demandé si le risque en valait la peine
En s’aimant, on sait à l’avance qu’on courra à sa perte
Mais j’suis pas à ça près, laisse-moi entendre comment tu sonnes
Les regrets, j’m’en tape, c’est pas la première claque que la vie m’donne
Ni que j’regrette de n'pas avoir agi, pourtant, de toute ma vie, j’me suis jamais senti aussi fragile
Je t'aurais offert mes jours, t’en aurais fait des années
Le temps m’a volé des choses que l’argent n'me rendra jamais
Entouré des meilleurs mais pourtant seul dans mes douleurs (dans mes douleurs), j’me fie aux conseils de mes écouteurs
Parler à son cahier, au bout d’un temps, c’est bizarre
J’voulais tellement qu’tu sois celle à qui je confie mes histoires, l’espoir de t’avoir me relève
Mais au fond, tu n’es qu’un cadeau qui s’effrite entre nos mains lorsque l’on rêve (lorsque l'on rêve)
J’me réveille et tu disparais, je sais qu’tu te reconnaîtras et qu’tu penseras : "C’est qui c'taré ?"
Pourtant, d’la fierté j’en ai mais là, j’en ai vraiment besoin
Voilà ma peine, je sais qu’tu vas en prendre soin
Tu resteras un souvenir magnifique au goût amer
C’est pas un texte comme les autres, c’est une bouteille à la mer
Mais même les mots les plus beaux ne décriront jamais la place que t’auras dans mon cœur
Alors, j’écris autant qu’je pleure
J’voulais tellement qu’elle m’aime (qu'elle m'aime)
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement qu’elle, j'voulais tellement qu’elle m'aime
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement
Cette histoire n’aura servi qu’à renforcer mes barrières
Chaque jour que Dieu fait, j'rêve de revenir en arrière
Chaque jour que Dieu fait, j'rêve de revenir en arrière
J'rêve de revenir en arrière
J'me sens comme une fleur sans couleur, une framboise sans goût
J'sens pas d'coup, que d'la douleur, y a pas d'moi sans nous
J'pense à celles que j'ai aimées, à celle que j'aime encore
J’savais pas la place que pouvait prendre un petit cœur dans l'corps
On croit qu'on tombe amoureux, en fait, on tombe dans l'vide
Pourquoi quand j’pense à toi, la vie m'frappe dans l’bide ?
J’perds le Nord, j’suis à l’Ouest, j’m’en remettrai quand ?
Si seulement, à cette foutue époque, j’en avais eu l’cran
J’t’aurais cherchée en sifflant là-haut sur la colline
Ce message vient du cœur ou d’un vieux classique d’MC Solaar
Mais l’amour avec un grand A me manque et il se meurt
Alors, j’écris autant qu’je pleure
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement qu’elle, j'voulais tellement qu’elle m'aime
J’voulais tellement
Mais j’suis pas à ça près, laisse-moi entendre comment tu sonnes
Les regrets, j’m’en tape, c’est pas la première claque que la vie m’donne
Ni que j’regrette de n'pas avoir agi, pourtant, de toute ma vie, j’me suis jamais senti aussi fragile
Je t'aurais offert mes jours, t’en aurais fait des années
Le temps m’a volé des choses que l’argent n'me rendra jamais
Entouré des meilleurs mais pourtant seul dans mes douleurs (dans mes douleurs), j’me fie aux conseils de mes écouteurs
Parler à son cahier, au bout d’un temps, c’est bizarre
J’voulais tellement qu’tu sois celle à qui je confie mes histoires, l’espoir de t’avoir me relève
Mais au fond, tu n’es qu’un cadeau qui s’effrite entre nos mains lorsque l’on rêve (lorsque l'on rêve)
J’me réveille et tu disparais, je sais qu’tu te reconnaîtras et qu’tu penseras : "C’est qui c'taré ?"
Pourtant, d’la fierté j’en ai mais là, j’en ai vraiment besoin
Voilà ma peine, je sais qu’tu vas en prendre soin
Tu resteras un souvenir magnifique au goût amer
C’est pas un texte comme les autres, c’est une bouteille à la mer
Mais même les mots les plus beaux ne décriront jamais la place que t’auras dans mon cœur
Alors, j’écris autant qu’je pleure
J’voulais tellement qu’elle m’aime (qu'elle m'aime)
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement qu’elle, j'voulais tellement qu’elle m'aime
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement
Cette histoire n’aura servi qu’à renforcer mes barrières
Chaque jour que Dieu fait, j'rêve de revenir en arrière
Chaque jour que Dieu fait, j'rêve de revenir en arrière
J'rêve de revenir en arrière
J'me sens comme une fleur sans couleur, une framboise sans goût
J'sens pas d'coup, que d'la douleur, y a pas d'moi sans nous
J'pense à celles que j'ai aimées, à celle que j'aime encore
J’savais pas la place que pouvait prendre un petit cœur dans l'corps
On croit qu'on tombe amoureux, en fait, on tombe dans l'vide
Pourquoi quand j’pense à toi, la vie m'frappe dans l’bide ?
J’perds le Nord, j’suis à l’Ouest, j’m’en remettrai quand ?
Si seulement, à cette foutue époque, j’en avais eu l’cran
J’t’aurais cherchée en sifflant là-haut sur la colline
Ce message vient du cœur ou d’un vieux classique d’MC Solaar
Mais l’amour avec un grand A me manque et il se meurt
Alors, j’écris autant qu’je pleure
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement qu’elle m’aime
J’voulais tellement qu’elle, j'voulais tellement qu’elle m'aime
J’voulais tellement