Letra de Conduis-moi
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Conduis-moi au cours des rivières endiablées
au cimes des montagnes ou le temps s'est arrêté.
au cimes des montagnes ou le temps s'est arrêté.
Au delà des marres et marrées habitées à l'extrême des pôles inhabités.
Conduis-moi ou le vin devient du bon miel
entre les mains d'indulgents en ribambelle.
Au creux de nénuphares irréels
Conduis-moi, ne t'arrêtes pas.
Conduis-moi aux dunes des nuits folles et délirantes,
sous les ponts de la liberté l'eau est si bonne
En équilibre sur le fil de la confiance que tu me donne
au sein même d'une étoilée bienveillante.
Conduis-moi ou le sucre casse son sel entre les forêts de pins en ribambelle
au confins des abîmes de gel.
Conduis-moi, Allez !
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
Ces chemins on en fera un jardin d'arbre d'amitié divaguant dans les effluves d'absinthe aux lueurs de l'aurore.
Conduis-moi au cours des rivières endiablées
au cimes des montagnes ou le temps s'est arrêté.
Au delà des marres et marrées massacrées à l'extrême des pôles inhabités.
Conduis-moi ou le vin devient du bon miel
entre les mains d'indulgents en ribambelle.
Au creux de nénuphares irréels
au confins des abîmes de gel.
Conduis-moi, Allez !
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
C o n d u i s - m o i
(Merci à Yves pour cettes paroles)
Conduis-moi ou le vin devient du bon miel
entre les mains d'indulgents en ribambelle.
Au creux de nénuphares irréels
Conduis-moi, ne t'arrêtes pas.
Conduis-moi aux dunes des nuits folles et délirantes,
sous les ponts de la liberté l'eau est si bonne
En équilibre sur le fil de la confiance que tu me donne
au sein même d'une étoilée bienveillante.
Conduis-moi ou le sucre casse son sel entre les forêts de pins en ribambelle
au confins des abîmes de gel.
Conduis-moi, Allez !
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
Ces chemins on en fera un jardin d'arbre d'amitié divaguant dans les effluves d'absinthe aux lueurs de l'aurore.
Conduis-moi au cours des rivières endiablées
au cimes des montagnes ou le temps s'est arrêté.
Au delà des marres et marrées massacrées à l'extrême des pôles inhabités.
Conduis-moi ou le vin devient du bon miel
entre les mains d'indulgents en ribambelle.
Au creux de nénuphares irréels
au confins des abîmes de gel.
Conduis-moi, Allez !
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
C o n d u i s - m o i
T'arrêtes pas
C o n d u i s - m o i
(Merci à Yves pour cettes paroles)
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