Letra de La Pendule
Letra powered by LyricFind
Tu voulais de l'amour...cette fois c'est loupé
Les bouquets sur ta tombe ont perdus leur senteur
Elles ont pris ton corps ou détraqué nos cœurs
Les bouquets sur ta tombe ont perdus leur senteur
Elles ont pris ton corps ou détraqué nos cœurs
Ta vie dans des cartons, des souvenirs de toi
Poto j'ai ta gueule prise au photomaton
On nettoie le canon qu'à mis fin à tes jours
On se tatou des larmes sur le coin de nos joues
On s'arme de patience, on attend des signes
Ton visage on dessine, pour combler ton absence
On avance dans le noir, sans les chiens pour guider
Ta choisit ton histoire , ta voulu nous quitter
Un nouveau départ, une éternité
Identité d'un homme, un goss qui se répare
On s'accroche à la tache, on voudrait du bonheur
Tu me parlais d'honneur, mais tu pars comme un lâche
Alors sache que je vis malgré tout, que j’oublie ta musique qui me fâche et m'étouffe
Je ne renie pas tout, tes disques m'entourent
Dans l'espoir d'un retour, je te voyais partout
Certains t'ont connu, certains se la raconte
Ça fais bien quelques mois que je ne vois plus ta tombe
Je tolère les prières, pas celles en public,
Celle de Taxi Driver ou de Stanley Kubrick
Ils refont ton histoire, moi je refais ma vie
Cette année c'est sans toi, que les beaux jours arrivent
J'ai terminé mon deuil, je me sens plus balaise
Quand je revois ta gueule, ne sent plus ce malaise
Écouter tes rimes, ça n'est pas si facile
J'ai ranger ma déprime , on fond de la pharmacie
Peu à peu ton épouse ressort la tête de l'eau
Mais toujours dans sa voix , il y a se trémolo
Toi qu'étais palot, jamais très bavard
Tu noyais ton cafard, dans de la menthe à l'eau.
Les jaloux, les salauds , les ragots qu'ils racontent,
Moi je les affrontent tous ces rats de salon
L'adieu des copains, pour la paix de ton âme,
Ceux pour qui t'étais Yann, pas qu'un chiffre romain
Le rasoir dans l'évier, t'as plus rien dans les veines
Embrasse mon arme, elle te dira je t'aime
Un fusil dans la bouche, t'as besoin d'oxygène
Chercher du repos dans un troupeau de hyènes
Tu voulais de l'amour, cette fois c'est loupé
Décapité l’espoir, t'as le diable au souper
Des soupirs de pendus , des lavages d'estomac
Des années de chômage a combattre des pendules
(Merci à Caroline pour cettes paroles)
Poto j'ai ta gueule prise au photomaton
On nettoie le canon qu'à mis fin à tes jours
On se tatou des larmes sur le coin de nos joues
On s'arme de patience, on attend des signes
Ton visage on dessine, pour combler ton absence
On avance dans le noir, sans les chiens pour guider
Ta choisit ton histoire , ta voulu nous quitter
Un nouveau départ, une éternité
Identité d'un homme, un goss qui se répare
On s'accroche à la tache, on voudrait du bonheur
Tu me parlais d'honneur, mais tu pars comme un lâche
Alors sache que je vis malgré tout, que j’oublie ta musique qui me fâche et m'étouffe
Je ne renie pas tout, tes disques m'entourent
Dans l'espoir d'un retour, je te voyais partout
Certains t'ont connu, certains se la raconte
Ça fais bien quelques mois que je ne vois plus ta tombe
Je tolère les prières, pas celles en public,
Celle de Taxi Driver ou de Stanley Kubrick
Ils refont ton histoire, moi je refais ma vie
Cette année c'est sans toi, que les beaux jours arrivent
J'ai terminé mon deuil, je me sens plus balaise
Quand je revois ta gueule, ne sent plus ce malaise
Écouter tes rimes, ça n'est pas si facile
J'ai ranger ma déprime , on fond de la pharmacie
Peu à peu ton épouse ressort la tête de l'eau
Mais toujours dans sa voix , il y a se trémolo
Toi qu'étais palot, jamais très bavard
Tu noyais ton cafard, dans de la menthe à l'eau.
Les jaloux, les salauds , les ragots qu'ils racontent,
Moi je les affrontent tous ces rats de salon
L'adieu des copains, pour la paix de ton âme,
Ceux pour qui t'étais Yann, pas qu'un chiffre romain
Le rasoir dans l'évier, t'as plus rien dans les veines
Embrasse mon arme, elle te dira je t'aime
Un fusil dans la bouche, t'as besoin d'oxygène
Chercher du repos dans un troupeau de hyènes
Tu voulais de l'amour, cette fois c'est loupé
Décapité l’espoir, t'as le diable au souper
Des soupirs de pendus , des lavages d'estomac
Des années de chômage a combattre des pendules
(Merci à Caroline pour cettes paroles)
Letra powered by LyricFind