Letra de La Tombe
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Je dormais dans le vague un lendemain d'automne
Moi j'avais tout perdu dans les paradis de Newton
Confectionnais mes anathèmes dans une chambre vétuste
Moi j'avais tout perdu dans les paradis de Newton
Confectionnais mes anathèmes dans une chambre vétuste
Comme un foetus je me repliais sur moi-même
J'attendais le verdict et me foutais des suivants
Rigidité cadavérique je disais adieu aux vivants
Il y a toujours de l'espace à l'arrière d'un corbillard
Les anges nous déplacent comme des rats de laboratoire
Le calvaire des hauteurs de Golgotha
Parfois le purgatoire ressemble étrangement à la Terre
Et je termine à la morgue sous les orgues et les honneurs
Si telle est mon heure pourquoi tirer sur la corde
Glacial et raide, bavardais, faisais des ordres
Ici-bas le secret reste le plus grand des trésors
Triste et froid comme un récif, j'ai rafistolé ma coque
Le malheur de notre époque ne m'a pas rendu dépressif
Evasif dans mes réponses mes confessions de façades
Je renonce à la vie car ce n'était qu'une passade
Et je trépasse en avance sans le prêtre et les éloges
Durant mon absence vous n'entendrez que l'horloge
She would never say where she came from
And yesterday don't matter if it's gone
Les véritables ont la vertu des vétérans
Moins il y avait de vivants plus on resserait les rangs
Imposteur ou prophète en herbe, tout ça m'échappe
Si je griffonnais déjà "au commencement était le verbe"
L'essentiel c'est la colère de Steinbeck
La verve de Blake entre le ciel et l'enfer
Mon horizon funèbre se lisait dans la fournaise
Triais mes lettres entre le psaume et les foutaises
Si peu de jours pour domestiquer le monde
je sus rester discret comme le sourire de la Joconde
Hors de mon corps dans les métamorphoses d'Ovide
Je suis la chrysalide de la phalène à tête de mort
La destinée d'Icare si le ciel se déploie
On a tous des remords mais les miens sont ternis d'effroi
Et des fois plus rien n'a de but pourtant on y voit plus clair
Ceux qu'on appelait nos frères sont aujourd'hui des fils de pute
La Genèse est un nombre, un testament ancien
Moi je n'y vois bien qu'enfermé dans la pénombre
Dans un ultimatum, si tel est ma tombe
Une dalle gravée d'un V suivi par ses deux bâtons
She would never say where she came from
And yesterday don't matter if it's gone
La tombe, j'en avais perdu l'habitude
Comme Kafka le succès de la solitude
Moi et le rap si peu de similitudes
Le colt dans l'étui quand on me lachait la grappe
La tombe, j'en avais perdu l'habitude
Comme Kafka le succès de la solitude
Garder le cap sans partir à la dérive
Ceux qui subissent les modes ne sont pas ceux qui les suivent
(Merci à infernomar pour cettes paroles)
J'attendais le verdict et me foutais des suivants
Rigidité cadavérique je disais adieu aux vivants
Il y a toujours de l'espace à l'arrière d'un corbillard
Les anges nous déplacent comme des rats de laboratoire
Le calvaire des hauteurs de Golgotha
Parfois le purgatoire ressemble étrangement à la Terre
Et je termine à la morgue sous les orgues et les honneurs
Si telle est mon heure pourquoi tirer sur la corde
Glacial et raide, bavardais, faisais des ordres
Ici-bas le secret reste le plus grand des trésors
Triste et froid comme un récif, j'ai rafistolé ma coque
Le malheur de notre époque ne m'a pas rendu dépressif
Evasif dans mes réponses mes confessions de façades
Je renonce à la vie car ce n'était qu'une passade
Et je trépasse en avance sans le prêtre et les éloges
Durant mon absence vous n'entendrez que l'horloge
She would never say where she came from
And yesterday don't matter if it's gone
Les véritables ont la vertu des vétérans
Moins il y avait de vivants plus on resserait les rangs
Imposteur ou prophète en herbe, tout ça m'échappe
Si je griffonnais déjà "au commencement était le verbe"
L'essentiel c'est la colère de Steinbeck
La verve de Blake entre le ciel et l'enfer
Mon horizon funèbre se lisait dans la fournaise
Triais mes lettres entre le psaume et les foutaises
Si peu de jours pour domestiquer le monde
je sus rester discret comme le sourire de la Joconde
Hors de mon corps dans les métamorphoses d'Ovide
Je suis la chrysalide de la phalène à tête de mort
La destinée d'Icare si le ciel se déploie
On a tous des remords mais les miens sont ternis d'effroi
Et des fois plus rien n'a de but pourtant on y voit plus clair
Ceux qu'on appelait nos frères sont aujourd'hui des fils de pute
La Genèse est un nombre, un testament ancien
Moi je n'y vois bien qu'enfermé dans la pénombre
Dans un ultimatum, si tel est ma tombe
Une dalle gravée d'un V suivi par ses deux bâtons
She would never say where she came from
And yesterday don't matter if it's gone
La tombe, j'en avais perdu l'habitude
Comme Kafka le succès de la solitude
Moi et le rap si peu de similitudes
Le colt dans l'étui quand on me lachait la grappe
La tombe, j'en avais perdu l'habitude
Comme Kafka le succès de la solitude
Garder le cap sans partir à la dérive
Ceux qui subissent les modes ne sont pas ceux qui les suivent
(Merci à infernomar pour cettes paroles)
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