Letra de Funeste Empire
Letra powered by LyricFind
[Premier Couplet]
Nous en avons bavé,
Nous en avons bavé,
Des trônes et des rois,
Des décrets et des lois,
Nous en avons bravé.
Dans la guerre et la grève
Les ouvriers s'unissent,
Le courage nous soulève
Du Caire à Tunis.
Les promesses d'un ministre
Te tiendront sous laisse
Les chimères d'une crise
Inventée de toutes pièces.
Manifeste, et les flics ont l'allure des casseurs,
On t'assomme au flash-ball, te réchauffe au tazer.
Domination de glace, information de masse,
Démantèlement des camps
Dans un silence tenace.
Plus de "Merci Monsieur"
Tu seras notre otage
Les médias sont à eux
Gardez vos reportages.
Vos putains de parti pédalent dans le potage,
Je n'attendrai pas Ségolène ou Martine,
C'est la rue la vraie, pas celle des rappeurs
Celle de ceux qui meurent de froid sur le pavé.
Celle des acquis sociaux vendus au patronat,
directeurs d'entreprise, et toues sorte de connard,
La colère traîne en bas au fond des ateliers,
Tu seras le forçat, qui sera le tôlier.
[Refrain]
Décapitée, sociale est la fracture,
Plus aucun droit tu n'auras que des factures.
Des gros sous je n'en suis que trop sûr
Ne dormez plus tranquille dans vos villas cossues.
Décapitée sociale est la fracture,
Plus aucune droit tu n'auras que des factures.
Mis à genoux par les autorités
Sous "Un si fragile vernis d'Humanité"
[Couplet 2]
Face à l'histoire de France,
Ne sois pas trop sensible,
L’holocauste ordinaire
Dans les camps de Drancy.
Le monde entre les mains
De quelques financiers,
Pour des placements boursiers
Tu seras licencié.
L'Etat Français réduit
L'impôt sur les fortunes,
Je voudrais voir leur sang
Couler sur leur costume.
Derrière les parures de leur démocratie,
L'aristocratie n'a jamais disparu.
Les Magna Industries;
Les paradis fiscaux;
Les banquiers, leur fiasco;
Nous paieront leurs profits.
On travaille à la chaîne
Pour leur manteau d’hermine,
On fout nos vies en l'air
Pour payer leur Berline.
Le fond monétaire ne gère que la famine
Comme chez les Rockfeller,
Tout se passe en famille.
Tu n'auras que les rats
Si tes murs son vétustes,
Dans les zones c'est la peste
Ou bien le choléra.
Chaque jour est une lutte
Demande à K-Listo,
Combien vaudront nos vies
Face à leurs capitaux.
Nous sommes des codes barres
Dans leurs foutues boutiques,
De Berlusconi, à Vladimir Poutine.
[Refrain]*2
(Merci à Thibault pour cettes paroles)
Des décrets et des lois,
Nous en avons bravé.
Dans la guerre et la grève
Les ouvriers s'unissent,
Le courage nous soulève
Du Caire à Tunis.
Les promesses d'un ministre
Te tiendront sous laisse
Les chimères d'une crise
Inventée de toutes pièces.
Manifeste, et les flics ont l'allure des casseurs,
On t'assomme au flash-ball, te réchauffe au tazer.
Domination de glace, information de masse,
Démantèlement des camps
Dans un silence tenace.
Plus de "Merci Monsieur"
Tu seras notre otage
Les médias sont à eux
Gardez vos reportages.
Vos putains de parti pédalent dans le potage,
Je n'attendrai pas Ségolène ou Martine,
C'est la rue la vraie, pas celle des rappeurs
Celle de ceux qui meurent de froid sur le pavé.
Celle des acquis sociaux vendus au patronat,
directeurs d'entreprise, et toues sorte de connard,
La colère traîne en bas au fond des ateliers,
Tu seras le forçat, qui sera le tôlier.
[Refrain]
Décapitée, sociale est la fracture,
Plus aucun droit tu n'auras que des factures.
Des gros sous je n'en suis que trop sûr
Ne dormez plus tranquille dans vos villas cossues.
Décapitée sociale est la fracture,
Plus aucune droit tu n'auras que des factures.
Mis à genoux par les autorités
Sous "Un si fragile vernis d'Humanité"
[Couplet 2]
Face à l'histoire de France,
Ne sois pas trop sensible,
L’holocauste ordinaire
Dans les camps de Drancy.
Le monde entre les mains
De quelques financiers,
Pour des placements boursiers
Tu seras licencié.
L'Etat Français réduit
L'impôt sur les fortunes,
Je voudrais voir leur sang
Couler sur leur costume.
Derrière les parures de leur démocratie,
L'aristocratie n'a jamais disparu.
Les Magna Industries;
Les paradis fiscaux;
Les banquiers, leur fiasco;
Nous paieront leurs profits.
On travaille à la chaîne
Pour leur manteau d’hermine,
On fout nos vies en l'air
Pour payer leur Berline.
Le fond monétaire ne gère que la famine
Comme chez les Rockfeller,
Tout se passe en famille.
Tu n'auras que les rats
Si tes murs son vétustes,
Dans les zones c'est la peste
Ou bien le choléra.
Chaque jour est une lutte
Demande à K-Listo,
Combien vaudront nos vies
Face à leurs capitaux.
Nous sommes des codes barres
Dans leurs foutues boutiques,
De Berlusconi, à Vladimir Poutine.
[Refrain]*2
(Merci à Thibault pour cettes paroles)
Letra powered by LyricFind