Letra de Syndrome Albatros
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Clown masqué décryptant les arcanes de la nuit
Dans les eaux troubles et noires des amours-commando
Tu croises des regards alourdis par l'oubli
Dans les eaux troubles et noires des amours-commando
Tu croises des regards alourdis par l'oubli
Et des ombres affolées sous la terreur des mots
Toi qui voulait baiser la terre dans son ghetto
Tu en reviens meurtri, vidé par sa violence
Et tu fuis ce vieux monstre à l'écaille indigo
Comme on fuit les cauch'mars souterrains de l'enfance
De crise en delirium, de fièvre en mélodrame
Franchissant la frontière aux fresques nécrophiles
Tu cherches dans les cercles où se perdent les âmes
Les amants fous, maudits, couchés sur le grésil
Et dans le froid torride des heures écartelées
Tu retranscris l'enfer sur la braise de tes gammes
Fier de ton déshonneur de poète estropié
Tu jouis comme un phénix ivre mort sous les flammes
Puis en busard blessé, cerné par les corbeaux
Tu remontes vers l'azur flashant de mille éclats
Et malgré les brûlures qui t'écorchent la peau
Tu fixes dans les brumes Terra Prohibida
Doux chaman en exil, interdit de sabbat
Tu pressens de là-haut les fastes à venir
Comme cette odeur de mort qui précède les combats
Et marque le début des vocations martyres
Mais loin de ces orages, vibrant de solitude
T'inventes un labyrinthe aux couleurs d'arc-en-ciel
Et tu t'en vas couler tes flots d'incertitude
Dans la bleue transparence d'un soleil torrentiel
Vois la fille océane des vagues providentielles
Qui t'appelle dans le vert des cathédrales marines
C'est une fille albatros, ta petite soeur jumelle
Qui t'appelle et te veut dans son rêve androgyne
Toi qui voulait baiser la terre dans son ghetto
Tu en reviens meurtri, vidé par sa violence
Et tu fuis ce vieux monstre à l'écaille indigo
Comme on fuit les cauch'mars souterrains de l'enfance
De crise en delirium, de fièvre en mélodrame
Franchissant la frontière aux fresques nécrophiles
Tu cherches dans les cercles où se perdent les âmes
Les amants fous, maudits, couchés sur le grésil
Et dans le froid torride des heures écartelées
Tu retranscris l'enfer sur la braise de tes gammes
Fier de ton déshonneur de poète estropié
Tu jouis comme un phénix ivre mort sous les flammes
Puis en busard blessé, cerné par les corbeaux
Tu remontes vers l'azur flashant de mille éclats
Et malgré les brûlures qui t'écorchent la peau
Tu fixes dans les brumes Terra Prohibida
Doux chaman en exil, interdit de sabbat
Tu pressens de là-haut les fastes à venir
Comme cette odeur de mort qui précède les combats
Et marque le début des vocations martyres
Mais loin de ces orages, vibrant de solitude
T'inventes un labyrinthe aux couleurs d'arc-en-ciel
Et tu t'en vas couler tes flots d'incertitude
Dans la bleue transparence d'un soleil torrentiel
Vois la fille océane des vagues providentielles
Qui t'appelle dans le vert des cathédrales marines
C'est une fille albatros, ta petite soeur jumelle
Qui t'appelle et te veut dans son rêve androgyne
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