Letra de Petit Château
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Comme les chanteurs de cinéma
Un hélicoptère
Après le concert
Un hélicoptère
Après le concert
Nous ramène jusque dans nos draps
Des bijoux, des chinchillas
Que faudra-t-il faire
Pour y avoir droit ?
J’ai assez travaillé comme ça
Hey, je n'demande que ça moi
Un petit château
Avec du réseau
Pour mater des photos de toi
Toi et tes camarades
En vacances à Cuba
Selfie sur la playa
Ta vie est tellement formidable
Je dérive volontiers dans l’immensité
Je m’enivre tout l’été de somnifères, de ton sale caractère
Puis, je fatigue forcément usé par le temps
Je prodigue sans y croire une seule seconde
J’ai renoncé au monde, ouais
De retour au temps des caresses
J’étudie la forme de tes fesses
Des promesses pas tenues
J’en suis revenu
J’étudie ton corps dévêtu
J’ai l’ambition d’un baobab
Deux pieds sur la table
J’ai crié si fort
Que j’ai dû réveiller les morts
L’impression de m’élever
Mais en vérité
Les dés sont pipés
Et je passe mon temps à la cave
De ce petit château, ouais
Avec du réseau
Une modique enclave
Pour mater des photos de chiots
Chaud pour aller danser
C’est soirée déguisée
Très vieux procédé inventé pour en échapper
Je dérive volontiers dans l’immensité
Je m’enivre tout l’été de somnifères, de ton sale caractère
Puis, je fatigue forcément usé par le temps
Je prodigue sans y croire une seule seconde
J’ai renoncé au monde, ouais
Des bijoux, des chinchillas
Que faudra-t-il faire
Pour y avoir droit ?
J’ai assez travaillé comme ça
Hey, je n'demande que ça moi
Un petit château
Avec du réseau
Pour mater des photos de toi
Toi et tes camarades
En vacances à Cuba
Selfie sur la playa
Ta vie est tellement formidable
Je dérive volontiers dans l’immensité
Je m’enivre tout l’été de somnifères, de ton sale caractère
Puis, je fatigue forcément usé par le temps
Je prodigue sans y croire une seule seconde
J’ai renoncé au monde, ouais
De retour au temps des caresses
J’étudie la forme de tes fesses
Des promesses pas tenues
J’en suis revenu
J’étudie ton corps dévêtu
J’ai l’ambition d’un baobab
Deux pieds sur la table
J’ai crié si fort
Que j’ai dû réveiller les morts
L’impression de m’élever
Mais en vérité
Les dés sont pipés
Et je passe mon temps à la cave
De ce petit château, ouais
Avec du réseau
Une modique enclave
Pour mater des photos de chiots
Chaud pour aller danser
C’est soirée déguisée
Très vieux procédé inventé pour en échapper
Je dérive volontiers dans l’immensité
Je m’enivre tout l’été de somnifères, de ton sale caractère
Puis, je fatigue forcément usé par le temps
Je prodigue sans y croire une seule seconde
J’ai renoncé au monde, ouais
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