Letra de Fin 1759
Ô ciel miroitant qui ouvre et au ciel gris, et au ciel bleu
Je te salue, et t'offre ma douleur
Celle de ma patrie
En ce jour, aux feux canonniers du lever
S'abattant sur nous depuis trop longtemps
Je devrai partir et te donner mon âme

Ô grand Fleuve, nous bénissant jadis
Devenu maelstrom grandissant et tourment
Délivre-nous de ton torrent
Tu cesseras de ployer aux flammes dès cet instant

Et toi, ma terre
Au son des tambours
Laisse-moi mordre ton coeur
Car je serai ferme et droit
Sur la route du combat
Mon sang te nourrira bientôt
Je te soignais, et s'éloignaient les corbeaux
Daigne alors dans tes bras
Faire reposer ces sanglots

Le souffle d'Aquilon ternit le champ de bataille
Les cris et les cornemuses des ennemis
Envahissent la plaine
Signal! Nous nous ruons!
Mort aux Anglais!