Letra de Belles Aussi
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Du même au pareil, encore
c'est pas demain la veille qu'on changera de décor
on manque de soleil ça d'accord
c'est pas demain la veille qu'on changera de décor
on manque de soleil ça d'accord
on manque de sommeil mais il nous reste nos corps
on n'aura qu'à se serrer fort loin des dollars de l'or
si des yeux tu me dévores
alors je n'ai plus peur d'être mort
même s'il est vrai que nos vies sont banale
rien n'empêche qu'elles soient belles aussi
même si je sais que je n'ai rein de spéciale
rien n'empêche que tu m'aimes aussi
tatalatata batapatatatala
tatalatata batapatatatala
il partait que la science a tort
et que c'est à l'amour qu'il faut donner son corps
un peu beaucoup passionnément un sort
et c'est à la folie qu'on précipite encore
on n'aura qu'à se serrer fort loin des dollars de l'or
si des yeux tu me dévores
alors je n'ai plus peur d'être mort
même s'il est vrai que nos vies sont banale
rien n'empêche qu'elles soient belles aussi
même si je sais que je n'ai rein de génial
rien n'empêche que tu m'aimes aussi
tatalatata batapatatatala
tatalatata batapatatatala
on est jamais aussi seul qu'au dehors
se tenir dans la foule se laisse aller sur nos corps
on a jamais aussi froid qu'aux abords
d'une source de chaleur humaine
mais on se fond dans le décor
si le bonheur est un trésor moi j'ai la carte tu as le nord
il sera plus entier encore si on le partage comme on le dévores
même s'il est vrai que nos vies sont banale
rien n'empêche qu'elles soient belles aussi
même si je sais que je n'ai rein de spéciale
rien n'empêche que tu m'aimes aussi
tatalatata batapatatatala
tatalatata batapatatatala
tatalatata batapatatatala
tatalatata batapatatatala
(Merci à Augustin Lucas pour cettes paroles)
on n'aura qu'à se serrer fort loin des dollars de l'or
si des yeux tu me dévores
alors je n'ai plus peur d'être mort
même s'il est vrai que nos vies sont banale
rien n'empêche qu'elles soient belles aussi
même si je sais que je n'ai rein de spéciale
rien n'empêche que tu m'aimes aussi
tatalatata batapatatatala
tatalatata batapatatatala
il partait que la science a tort
et que c'est à l'amour qu'il faut donner son corps
un peu beaucoup passionnément un sort
et c'est à la folie qu'on précipite encore
on n'aura qu'à se serrer fort loin des dollars de l'or
si des yeux tu me dévores
alors je n'ai plus peur d'être mort
même s'il est vrai que nos vies sont banale
rien n'empêche qu'elles soient belles aussi
même si je sais que je n'ai rein de génial
rien n'empêche que tu m'aimes aussi
tatalatata batapatatatala
tatalatata batapatatatala
on est jamais aussi seul qu'au dehors
se tenir dans la foule se laisse aller sur nos corps
on a jamais aussi froid qu'aux abords
d'une source de chaleur humaine
mais on se fond dans le décor
si le bonheur est un trésor moi j'ai la carte tu as le nord
il sera plus entier encore si on le partage comme on le dévores
même s'il est vrai que nos vies sont banale
rien n'empêche qu'elles soient belles aussi
même si je sais que je n'ai rein de spéciale
rien n'empêche que tu m'aimes aussi
tatalatata batapatatatala
tatalatata batapatatatala
tatalatata batapatatatala
tatalatata batapatatatala
(Merci à Augustin Lucas pour cettes paroles)
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