Letra de C'est Pour
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C'est pour ce gosse qui voit plus loin qu'le paysage
Qui dans ses rêves décolle, se fait chambrer à l'école pour une histoire de métissage
C'est pour ce père de famille qui voit naitre un sourire précoce
Qui dans ses rêves décolle, se fait chambrer à l'école pour une histoire de métissage
C'est pour ce père de famille qui voit naitre un sourire précoce
Qui change de vie et qui part taffer pour pouvoir nourrir ses gosses
Pour ceux qui se sont trompés, connaissent l'amour et sa trempe
Pour ceux qui fument comme des pompiers, qui savent que la mort les attendent
C'est pour c't'ado qui pensait qu'tout est drôle
Et qu'a fini par caner à force de vouloir tester toutes les drogues
Ceux qu'on pas d'identité, qui s'battent à la vie à la mort
Pour les darons qui doivent identifier leur fille ou leur fils à la morgue
Ceux qui ouvrent une épicerie pour couvrir leurs ventes
Imagine le nombre de gens qui dealent pour nourrir leur ventre
C'est pour ceux qui savent c'qui s'cache derrière leur conflits sombres
Qui baisent l'insigne, qu'on des principes, s'arrachent pour leurs convictions
Ceux qui sont paro, qui quand sont trop mal tisent
Qui connaissent les barreaux d'la tristesse quand le business pousse au traumatisme
C'est pour cette étudiante qui pour du cash racole
Pour les vécus percutants qui perdent du temps, qui s'cachent derrière l'alcool
Pour ceux qui pensent qu'ils n'ont pas l'air capable (C'est faux!)
Pour les frères qui s'aident, lâchent leur canap le jour où t'es en galère d'appart
C'est pour cette femme qui d'un amour féroce s'acharne
Un p'tit gabarit qu'a pas d'mari avec 4 gosses à charge
A l'heure où l'vice et la vertu s'heurtent et s'apparentent
De tout cœur c'est pour ces potes d'enfance qu'ont perdu leurs parents
Y'a ceux qui trouvent l'amour, y'a ceux qui trouvent la mort
Y'a ceux qui couvrent la vie, ceux qui la bouffent ceux qui la mordent
Y'a ceux qui pour vivre comme vous prennent pour dix ans fermes
Loin d'êtres fous, y'a ceux qu'on un cerveau et ceux qui s'en servent
A nos chacals, nos frères
Nos bâtards, nos pères
A ceux qui ragent, qui crachent
A tous ceux qui partagent nos peines
A nos mères pudiques, notre cher public
A toute cette force qui s'reflète dans chaque pupille d'ceux qui acclament nos 16
A nos chacals, nos frères
Nos bâtards, nos pères
A ceux qui ragent, qui crachent
A tous ceux qui partagent nos peines
A nos mères pudiques, notre cher public
Dites leur que les miens m'suffisent, que la rage s'éteint quand nos pages sont pleines
C'est pour celle, qui a vu son fils unique partir à tout jamais
Histoire de fric, de jalousie, brisant le nid d'un doux chalet
C'est pour celui qu'esquive, quand la rue est sous ricard
Démuni, ayant comme seule arme la vue d'un suricate
Pour celle qui ne dérange en aucun cas
A part ses fesses qu'encaissent sans moufter, devant les casseroles séquestrée par ses frères
Celui qui jette son fric, enivré d'aucune passion
Ayant comme seul chef celui de ses inculpations
Celui qui pète son stick toute l'aprem sur logiciel
En mode autiste, pour l'bonheur de nos oreilles, ne voit pas le joli ciel
A celles qui mettent en selle nos rêves, nos pieds à l'étriers
Sans elles, pas d'galop, mais l'allure du pas d'un équidé
Trop d'idées dans ma tête trottent attristées pour ce monde
Non seulement pour mes futurs connes si ce jour se montre
C'est pour celui en bleu de travail sans super costard
Ex taulard, sur la bonne voie d'une névralgie intercostale
A celui qui tutoie la faillite, qu'a de grands faillis
Talonnait, les pas biens périlleux de Rédoine Faïd
Celui qui tend la main au pied d'un guichet BNP
Celui qui ne voit rien mais bien trop voyeur d'vant la TNT
C'est pour ce petit flemmard qui débarrasse jamais sa table
Mais le fait chez les autres, et pour moins que ça certain permet sa tarte
A cette jeunesse d'à peine 20 ans et tant d'antécédents
Comment croquer la vie quand la drogue a prit le temps d'oter ses dents?
Y'à ceux qui cherchent la merde et qui la trouvent alors
Y'a ceux qui kiffent la vie, ceux qui la perdent ceux qui l'adorent
C'est pour les mots qu'j'aurais du dire et arrondir les angles
Même si le silence gène allons laissons venir les anges
A nos chacals, nos frères
Nos bâtards, nos pères
A ceux qui ragent, qui crachent
A tous ceux qui partagent nos peines
A nos mères pudiques, notre cher public
A toute cette force qui s'reflète dans chaque pupille d'ceux qui acclament nos 16
A nos chacals, nos frères
Nos bâtards, nos pères
A ceux qui ragent, qui crachent
A tous ceux qui partagent nos peines
A nos mères pudiques, notre cher public
Dites leur que les miens m'suffisent, que la rage s'éteint quand nos pages sont pleines
C'est pour tous ceux qui charbonnent cous'
Pour ceux qui crient au secours
Ceux qui évitent les secousses
Ceux qui opèrent en douce
A cette maman qui te parle plus
Ce papa que tu fait peine
Toute cette rage que t'évacue
Jusqu'au jour où tu vas t'perdre
Ceux qui n'voient même plus les règles
Ni les traces de la limite
Avoir le plus de billets verts ne fera pas vivre à l'infini
Ceux qui t'font mal au cerveau jusqu'à t'vendre du doliprane
La blanche n'est plus pour les riches, maintenant c'est devenu légal
Ceux qui perdent plus qu'ils en gagnent
Bosse plus, mourira jeune
S'tuer pour 10 balles à l'heure
Écrire l'avenir à l'effaceur
Pour ceux qui s'battent sans avoir peur
Parler sans devoir se taire
A cette fille qui pleure tout l'temps, qui tombe autant d'gouttes qu'en hiver
A tout ceux qui enrichissent la guerre sans avoir senti un cadavre
Demande à Koma, on est déçus dès qu'elle retire son maquillage
Fuck Kylie Minaj, ptetre la seule fois où j'suis bilingue
Pour ceux qui sont drogués au son, qui n'ont pas senti la seringue
A nos chacals, nos frères
Nos batards, nos pères
A ceux qui ragent, qui crachent
A tous ceux qui partagent nos peines
A nos mères pudiques, notre cher public
A toute cette force qui s'reflète dans chaque pupille d'ceux qui acclament nos 16
A nos chacals, nos frères
Nos batards, nos pères
A ceux qui ragent, qui crachent
A tous ceux qui partagent nos peines
A nos mères pudiques, notre cher public
Dites leur que les miens m'suffisent, que la rage s'éteint quand nos pages sont pleines
Pour ceux qui se sont trompés, connaissent l'amour et sa trempe
Pour ceux qui fument comme des pompiers, qui savent que la mort les attendent
C'est pour c't'ado qui pensait qu'tout est drôle
Et qu'a fini par caner à force de vouloir tester toutes les drogues
Ceux qu'on pas d'identité, qui s'battent à la vie à la mort
Pour les darons qui doivent identifier leur fille ou leur fils à la morgue
Ceux qui ouvrent une épicerie pour couvrir leurs ventes
Imagine le nombre de gens qui dealent pour nourrir leur ventre
C'est pour ceux qui savent c'qui s'cache derrière leur conflits sombres
Qui baisent l'insigne, qu'on des principes, s'arrachent pour leurs convictions
Ceux qui sont paro, qui quand sont trop mal tisent
Qui connaissent les barreaux d'la tristesse quand le business pousse au traumatisme
C'est pour cette étudiante qui pour du cash racole
Pour les vécus percutants qui perdent du temps, qui s'cachent derrière l'alcool
Pour ceux qui pensent qu'ils n'ont pas l'air capable (C'est faux!)
Pour les frères qui s'aident, lâchent leur canap le jour où t'es en galère d'appart
C'est pour cette femme qui d'un amour féroce s'acharne
Un p'tit gabarit qu'a pas d'mari avec 4 gosses à charge
A l'heure où l'vice et la vertu s'heurtent et s'apparentent
De tout cœur c'est pour ces potes d'enfance qu'ont perdu leurs parents
Y'a ceux qui trouvent l'amour, y'a ceux qui trouvent la mort
Y'a ceux qui couvrent la vie, ceux qui la bouffent ceux qui la mordent
Y'a ceux qui pour vivre comme vous prennent pour dix ans fermes
Loin d'êtres fous, y'a ceux qu'on un cerveau et ceux qui s'en servent
A nos chacals, nos frères
Nos bâtards, nos pères
A ceux qui ragent, qui crachent
A tous ceux qui partagent nos peines
A nos mères pudiques, notre cher public
A toute cette force qui s'reflète dans chaque pupille d'ceux qui acclament nos 16
A nos chacals, nos frères
Nos bâtards, nos pères
A ceux qui ragent, qui crachent
A tous ceux qui partagent nos peines
A nos mères pudiques, notre cher public
Dites leur que les miens m'suffisent, que la rage s'éteint quand nos pages sont pleines
C'est pour celle, qui a vu son fils unique partir à tout jamais
Histoire de fric, de jalousie, brisant le nid d'un doux chalet
C'est pour celui qu'esquive, quand la rue est sous ricard
Démuni, ayant comme seule arme la vue d'un suricate
Pour celle qui ne dérange en aucun cas
A part ses fesses qu'encaissent sans moufter, devant les casseroles séquestrée par ses frères
Celui qui jette son fric, enivré d'aucune passion
Ayant comme seul chef celui de ses inculpations
Celui qui pète son stick toute l'aprem sur logiciel
En mode autiste, pour l'bonheur de nos oreilles, ne voit pas le joli ciel
A celles qui mettent en selle nos rêves, nos pieds à l'étriers
Sans elles, pas d'galop, mais l'allure du pas d'un équidé
Trop d'idées dans ma tête trottent attristées pour ce monde
Non seulement pour mes futurs connes si ce jour se montre
C'est pour celui en bleu de travail sans super costard
Ex taulard, sur la bonne voie d'une névralgie intercostale
A celui qui tutoie la faillite, qu'a de grands faillis
Talonnait, les pas biens périlleux de Rédoine Faïd
Celui qui tend la main au pied d'un guichet BNP
Celui qui ne voit rien mais bien trop voyeur d'vant la TNT
C'est pour ce petit flemmard qui débarrasse jamais sa table
Mais le fait chez les autres, et pour moins que ça certain permet sa tarte
A cette jeunesse d'à peine 20 ans et tant d'antécédents
Comment croquer la vie quand la drogue a prit le temps d'oter ses dents?
Y'à ceux qui cherchent la merde et qui la trouvent alors
Y'a ceux qui kiffent la vie, ceux qui la perdent ceux qui l'adorent
C'est pour les mots qu'j'aurais du dire et arrondir les angles
Même si le silence gène allons laissons venir les anges
A nos chacals, nos frères
Nos bâtards, nos pères
A ceux qui ragent, qui crachent
A tous ceux qui partagent nos peines
A nos mères pudiques, notre cher public
A toute cette force qui s'reflète dans chaque pupille d'ceux qui acclament nos 16
A nos chacals, nos frères
Nos bâtards, nos pères
A ceux qui ragent, qui crachent
A tous ceux qui partagent nos peines
A nos mères pudiques, notre cher public
Dites leur que les miens m'suffisent, que la rage s'éteint quand nos pages sont pleines
C'est pour tous ceux qui charbonnent cous'
Pour ceux qui crient au secours
Ceux qui évitent les secousses
Ceux qui opèrent en douce
A cette maman qui te parle plus
Ce papa que tu fait peine
Toute cette rage que t'évacue
Jusqu'au jour où tu vas t'perdre
Ceux qui n'voient même plus les règles
Ni les traces de la limite
Avoir le plus de billets verts ne fera pas vivre à l'infini
Ceux qui t'font mal au cerveau jusqu'à t'vendre du doliprane
La blanche n'est plus pour les riches, maintenant c'est devenu légal
Ceux qui perdent plus qu'ils en gagnent
Bosse plus, mourira jeune
S'tuer pour 10 balles à l'heure
Écrire l'avenir à l'effaceur
Pour ceux qui s'battent sans avoir peur
Parler sans devoir se taire
A cette fille qui pleure tout l'temps, qui tombe autant d'gouttes qu'en hiver
A tout ceux qui enrichissent la guerre sans avoir senti un cadavre
Demande à Koma, on est déçus dès qu'elle retire son maquillage
Fuck Kylie Minaj, ptetre la seule fois où j'suis bilingue
Pour ceux qui sont drogués au son, qui n'ont pas senti la seringue
A nos chacals, nos frères
Nos batards, nos pères
A ceux qui ragent, qui crachent
A tous ceux qui partagent nos peines
A nos mères pudiques, notre cher public
A toute cette force qui s'reflète dans chaque pupille d'ceux qui acclament nos 16
A nos chacals, nos frères
Nos batards, nos pères
A ceux qui ragent, qui crachent
A tous ceux qui partagent nos peines
A nos mères pudiques, notre cher public
Dites leur que les miens m'suffisent, que la rage s'éteint quand nos pages sont pleines
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