Letra de Voltaire
Y'a mes titres qui font les gros titres
Les trolls du net qui gossip'
Et tout est parti d'un tweet raciste
Les trolls du net qui gossip'
Et tout est parti d'un tweet raciste
Mais qui se justifie se crucifie
Un exemplaire de mon disque
A fini sur le bureau du ministre
L'irrévérence et la satire
Moi j'croyais qu'c'était pour tous les artistes
J'suis l'enfant du peuple qui fait la grimace à l'État dès qu'il a le dos tourné
C'est maître Victor Hugo qui disait qu'être contesté c'est être constaté
Alors, j'ai porté mes couilles en aillant toujours dit ce que je pense
J'préfère regretter mes discours plutôt de que regretter mes silences
C'est ni d'la faute à Voltaire, ni d'la faute à Rousseau
C'est p't-être la faute à un tel ou p't-être la faute à un autre
C'est ni d'la faute à Voltaire, ni d'la faute à Rousseau
Mais c'est jamais pour nos frères qu'on sépare l'œuvre de l'Homme
Allez-vous traiter MHD comme vous avez traité Cantat ?
Mennel ou Milla le traitement n'était pas équitable
J'croyais qu'les chiffres allaient changer le game et la machine
Mais lutter contre le feu c'est plus facile
Que d'lutter contre leur bureaucratie
Parole sous surveillance Orwellienne
Et la censure est en chemise hawaïenne
Tu veux qu'on reste poli dans nos mal-être
Tu lis d'travers comme Apolline de Malherbe
Y'a que du racisme systémique
Derrière leur "On ne peut plus rien dire"
Restez dans l'entre-soi médiatique
En vrai c'est vous les vrais communautaristes
Nous on voulait juste vivre de nos plumes
Les avoirs dans la main mais pas dans le cul
Maintenant même ma main me cache ce qu'elle écrit
Sûrement par peur de subir l'autocensure
J'veux parler de police, de placage ventral
Que pour 4 Marc il n'y ait pas qu'un Mourad
Au lieu d'compter les noirs dans ton festival
J'veux qu'on nomme une rue "Aya Nakamura"
C'est ni d'la faute à Voltaire, ni d'la faute à Rousseau
C'est p't-être la faute à un tel ou p't-être la faute à un autre
C'est ni d'la faute à Voltaire, ni d'la faute à Rousseau
Mais c'est jamais pour nos frères qu'on sépare l'œuvre de l'Homme
C'est ni d'la faute à Voltaire, ni d'la faute à Rousseau
C'est p't-être la faute à un tel ou p't-être la faute à un autre
C'est ni d'la faute à Voltaire, ni d'la faute à Rousseau
Mais c'est jamais pour nos frères qu'on sépare l'œuvre de l'Homme
"C'est à dire que si tu es en colère, c'est que tu n'es pas capable de raisonner logiquement. Puisque, en tout cas en Occident, la colère c'est l'ennemi de la réflexion, ça c'est un truc paternaliste, tu vois, c'est une façon de dire qu'en gros tu es primitif, tu ne sais pas organiser ta pensée. C'est une façon de te disqualifier, de disqualifier le discours. Et c'est une façon aussi de s'assurer un certain confort. C'est à dire je veux bien t'entendre mais dis le moi gentiment que ça soit pas trop inconfortable. Non, des fois, c'est juste un crachat dans ta gueule tu vois que j'ai envie de t'envoyer, pour que tu comprennes."
Un exemplaire de mon disque
A fini sur le bureau du ministre
L'irrévérence et la satire
Moi j'croyais qu'c'était pour tous les artistes
J'suis l'enfant du peuple qui fait la grimace à l'État dès qu'il a le dos tourné
C'est maître Victor Hugo qui disait qu'être contesté c'est être constaté
Alors, j'ai porté mes couilles en aillant toujours dit ce que je pense
J'préfère regretter mes discours plutôt de que regretter mes silences
C'est ni d'la faute à Voltaire, ni d'la faute à Rousseau
C'est p't-être la faute à un tel ou p't-être la faute à un autre
C'est ni d'la faute à Voltaire, ni d'la faute à Rousseau
Mais c'est jamais pour nos frères qu'on sépare l'œuvre de l'Homme
Allez-vous traiter MHD comme vous avez traité Cantat ?
Mennel ou Milla le traitement n'était pas équitable
J'croyais qu'les chiffres allaient changer le game et la machine
Mais lutter contre le feu c'est plus facile
Que d'lutter contre leur bureaucratie
Parole sous surveillance Orwellienne
Et la censure est en chemise hawaïenne
Tu veux qu'on reste poli dans nos mal-être
Tu lis d'travers comme Apolline de Malherbe
Y'a que du racisme systémique
Derrière leur "On ne peut plus rien dire"
Restez dans l'entre-soi médiatique
En vrai c'est vous les vrais communautaristes
Nous on voulait juste vivre de nos plumes
Les avoirs dans la main mais pas dans le cul
Maintenant même ma main me cache ce qu'elle écrit
Sûrement par peur de subir l'autocensure
J'veux parler de police, de placage ventral
Que pour 4 Marc il n'y ait pas qu'un Mourad
Au lieu d'compter les noirs dans ton festival
J'veux qu'on nomme une rue "Aya Nakamura"
C'est ni d'la faute à Voltaire, ni d'la faute à Rousseau
C'est p't-être la faute à un tel ou p't-être la faute à un autre
C'est ni d'la faute à Voltaire, ni d'la faute à Rousseau
Mais c'est jamais pour nos frères qu'on sépare l'œuvre de l'Homme
C'est ni d'la faute à Voltaire, ni d'la faute à Rousseau
C'est p't-être la faute à un tel ou p't-être la faute à un autre
C'est ni d'la faute à Voltaire, ni d'la faute à Rousseau
Mais c'est jamais pour nos frères qu'on sépare l'œuvre de l'Homme
"C'est à dire que si tu es en colère, c'est que tu n'es pas capable de raisonner logiquement. Puisque, en tout cas en Occident, la colère c'est l'ennemi de la réflexion, ça c'est un truc paternaliste, tu vois, c'est une façon de dire qu'en gros tu es primitif, tu ne sais pas organiser ta pensée. C'est une façon de te disqualifier, de disqualifier le discours. Et c'est une façon aussi de s'assurer un certain confort. C'est à dire je veux bien t'entendre mais dis le moi gentiment que ça soit pas trop inconfortable. Non, des fois, c'est juste un crachat dans ta gueule tu vois que j'ai envie de t'envoyer, pour que tu comprennes."