Letra de Louisa
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L'humain est source de mystère
Et bien souvent dans ses travers
On perd le fil et le bon sens
Et bien souvent dans ses travers
On perd le fil et le bon sens
Qui nous mèneraient à l'évidence
Pourtant il est aussi des gens
Dont le soleil est tellement grand
Qu'ils aiment à prendre sous leur aile
Tous les oubliés du printemps
Louisa est celle à qui je pense
Quand le moral est au plus bas
Quand il faut remonter la pente
Pour les autres, elle est toujours là
Les accidentés du parcours
Les amputés du quotidien
Plus aucuns dieux aux alentours
Seuls ils transforment l'eau en vin
Ref:
Elle n'est pas belle comme on l'entend
Quand on est solide au-dedans
Mais elle rend ivre de bonheur
Les cabossés de l'intérieur
Elle voit les verres à moitié pleins
Ramasse les bouteilles à la mer
Des naufragés du quotidien
Et des rescapés de l'hiver
Elle n'est pas là pour les juger
Ça, d'autres l'ont fait bien avant
De son regard attentionné
Elle les écoute patiemment
Elle leur parle d'autres ivresses
Leur fait vomir leurs idées noires
Et dans le reflet de ses verres
Ils noient, leurs signaux de détresse
Quand elle les quitte pour un temps
Il suffit qu'ils pensent à elle
Qui les rend beaux, elle la belle
Où plutôt devrais-je dire vivants
Ils ont les yeux rougis d'espoir
Et la détresse titubante
Dans leur euphorie balbutiante
Ils trinquent à leur nouveau départ
Ref:
Elle n'est pas belle comme on l'entend
Quand on est solide au-dedans
Mais elle rend ivre de bonheur
Les cabossés de l'intérieur
Elle voit les verres à moitié pleins
Ramasse les bouteilles à la mer
Des naufragés du lendemain
Et des rescapés de l'hiver
Et si la clé de ce mystère
Qui nous relève genoux à terre
Était de saisir sa chance
Louisa est née de l'assistance
Ref:
Elle n'est pas belle comme on l'entend
Quand on est solide au-dedans
Mais elle rend ivre de bonheur
Les cabossés de l'intérieur
Elle voit les verres à moitié pleins
Ramasse les bouteilles à la mer
Et quand je me réjouis d'un rien
Louisa n'y est pas étrangère
Pourtant il est aussi des gens
Dont le soleil est tellement grand
Qu'ils aiment à prendre sous leur aile
Tous les oubliés du printemps
Louisa est celle à qui je pense
Quand le moral est au plus bas
Quand il faut remonter la pente
Pour les autres, elle est toujours là
Les accidentés du parcours
Les amputés du quotidien
Plus aucuns dieux aux alentours
Seuls ils transforment l'eau en vin
Ref:
Elle n'est pas belle comme on l'entend
Quand on est solide au-dedans
Mais elle rend ivre de bonheur
Les cabossés de l'intérieur
Elle voit les verres à moitié pleins
Ramasse les bouteilles à la mer
Des naufragés du quotidien
Et des rescapés de l'hiver
Elle n'est pas là pour les juger
Ça, d'autres l'ont fait bien avant
De son regard attentionné
Elle les écoute patiemment
Elle leur parle d'autres ivresses
Leur fait vomir leurs idées noires
Et dans le reflet de ses verres
Ils noient, leurs signaux de détresse
Quand elle les quitte pour un temps
Il suffit qu'ils pensent à elle
Qui les rend beaux, elle la belle
Où plutôt devrais-je dire vivants
Ils ont les yeux rougis d'espoir
Et la détresse titubante
Dans leur euphorie balbutiante
Ils trinquent à leur nouveau départ
Ref:
Elle n'est pas belle comme on l'entend
Quand on est solide au-dedans
Mais elle rend ivre de bonheur
Les cabossés de l'intérieur
Elle voit les verres à moitié pleins
Ramasse les bouteilles à la mer
Des naufragés du lendemain
Et des rescapés de l'hiver
Et si la clé de ce mystère
Qui nous relève genoux à terre
Était de saisir sa chance
Louisa est née de l'assistance
Ref:
Elle n'est pas belle comme on l'entend
Quand on est solide au-dedans
Mais elle rend ivre de bonheur
Les cabossés de l'intérieur
Elle voit les verres à moitié pleins
Ramasse les bouteilles à la mer
Et quand je me réjouis d'un rien
Louisa n'y est pas étrangère
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