Letra de L'utopicythe
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Bonjour docteur, je viens vous voir
J'ai un peu peur d'être bizarre
Je croise des gens si différents
J'ai un peu peur d'être bizarre
Je croise des gens si différents
Tout est écrit dans leur regard
Quand je les salue en passant
J'ai l'impression d'être un chat noir
Bonjour docteur est-ce que c'est moi
Est-ce que j'ai tort la bague au doigt
Comme une espèce protégée
Mon entourage me questionne
« Est-ce possible qu'après tant d'années
Il soit encore sincère ton homme ? »
Je baisse les yeux le plus souvent
Je me sens seule, c'est déprimant
Il me dit :
« Vous souffrez madame d'utopicythe aigue,
Bien souvent chez les femmes, ce mal est apparu
À la suite d'une trop forte dose de bonheur
Ça passera avec le temps, n'ayez pas peur... »
Et puis docteur dans les écoles
Tous ces enfants qui nous affolent
Les miens sont doux comme des agneaux
Ils obéissent même parfois
Ce devrait être du gâteau
De les faire marcher dans nos pas
Je baisse les yeux de temps en temps
Il plane un doute, c'est évident.
Refrain
Au revoir docteur à la prochaine
Je lutte pour paraître sereine
Et dans un affreux tintamarre
Le réveil sonne, j'ai dû rêver
On va encore être en retard
Qu'importe puisqu'on a la santé
Je cherche des yeux spontanément
Le café noir et les croissants
Sur un beau plateau déposés
Avec les dessins des enfants....
Refrain
(Merci à Mathilde pour cettes paroles)
Quand je les salue en passant
J'ai l'impression d'être un chat noir
Bonjour docteur est-ce que c'est moi
Est-ce que j'ai tort la bague au doigt
Comme une espèce protégée
Mon entourage me questionne
« Est-ce possible qu'après tant d'années
Il soit encore sincère ton homme ? »
Je baisse les yeux le plus souvent
Je me sens seule, c'est déprimant
Il me dit :
« Vous souffrez madame d'utopicythe aigue,
Bien souvent chez les femmes, ce mal est apparu
À la suite d'une trop forte dose de bonheur
Ça passera avec le temps, n'ayez pas peur... »
Et puis docteur dans les écoles
Tous ces enfants qui nous affolent
Les miens sont doux comme des agneaux
Ils obéissent même parfois
Ce devrait être du gâteau
De les faire marcher dans nos pas
Je baisse les yeux de temps en temps
Il plane un doute, c'est évident.
Refrain
Au revoir docteur à la prochaine
Je lutte pour paraître sereine
Et dans un affreux tintamarre
Le réveil sonne, j'ai dû rêver
On va encore être en retard
Qu'importe puisqu'on a la santé
Je cherche des yeux spontanément
Le café noir et les croissants
Sur un beau plateau déposés
Avec les dessins des enfants....
Refrain
(Merci à Mathilde pour cettes paroles)
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