Letra de L'antidote
Letra powered by LyricFind
Encore un de perdu, sans indices retrouvés
A peine connu déjà évaporé
Encore un en transit, encore un de passage
A peine connu déjà évaporé
Encore un en transit, encore un de passage
Encore un qui te quittes... Tu tournes la page
Mais ton coeur mandarine, on l'épluche trop souvent
T'as des airs d'héroïne d'un mauvais roman
Et tes princes d'opérette ainsi font au fond trois petits tours de claquette et puis s'en vont ... et puis s'en vont !
Si j'avais l'antidote aux chagrins d'amour
Je te rendrai plus forte pour que tu t'aimes un jour
Si j'avais l'antidote à tes peines de coeur
Je te rendrai plus forte... petite soeur
Allez viens je t'emmène suivre le vent du nord
Au fil des éoliennes, de port en port
Allez viens ne pleure pas tu trouveras des trésors cachés au fond de toi
Tu n'as rien vu encore
Et ton âme en détresse, dans la valse des aimés, que le vent la caresse et l'emporte apaisée...
Que le vent lui apprenne la confiance et l'audace
Allez viens je t'emmène tu verras que tout passe ... Tu verras que tout passe
Si j'avais l'antidote aux chagrins d'amour
Je te rendrai plus forte pour que tu t'aimes un jour
Si j'avais l'antidote à tes peines de coeur
Je te rendrai plus forte... petite soeur
Car toi tu es l'île dont rêvent les marins,
Cette reine fragile qui inspire l'écrivain
Toi, tu as séduit le plus grand dû des vents
Tu es celle qu'ont choisie les muses, les titans
Même si tu ne le vois pas, tu es bien plus encore
Ce n'est pas moi qui dit cela ... c'est le vent du nord
Alors ne laisse personne s'amuser avec toi
Et si tu t'abandonnes, que ce soit pour un roi... que ce soit pour un roi !
Si j'avais l'antidote aux chagrins d'amour
Je te rendrai plus forte pour que tu t'aimes un jour
Si j'avais l'antidote à tes peines de coeur
Je te rendrai plus forte... petite soeur
(Merci à Manon pour cettes paroles)
Mais ton coeur mandarine, on l'épluche trop souvent
T'as des airs d'héroïne d'un mauvais roman
Et tes princes d'opérette ainsi font au fond trois petits tours de claquette et puis s'en vont ... et puis s'en vont !
Si j'avais l'antidote aux chagrins d'amour
Je te rendrai plus forte pour que tu t'aimes un jour
Si j'avais l'antidote à tes peines de coeur
Je te rendrai plus forte... petite soeur
Allez viens je t'emmène suivre le vent du nord
Au fil des éoliennes, de port en port
Allez viens ne pleure pas tu trouveras des trésors cachés au fond de toi
Tu n'as rien vu encore
Et ton âme en détresse, dans la valse des aimés, que le vent la caresse et l'emporte apaisée...
Que le vent lui apprenne la confiance et l'audace
Allez viens je t'emmène tu verras que tout passe ... Tu verras que tout passe
Si j'avais l'antidote aux chagrins d'amour
Je te rendrai plus forte pour que tu t'aimes un jour
Si j'avais l'antidote à tes peines de coeur
Je te rendrai plus forte... petite soeur
Car toi tu es l'île dont rêvent les marins,
Cette reine fragile qui inspire l'écrivain
Toi, tu as séduit le plus grand dû des vents
Tu es celle qu'ont choisie les muses, les titans
Même si tu ne le vois pas, tu es bien plus encore
Ce n'est pas moi qui dit cela ... c'est le vent du nord
Alors ne laisse personne s'amuser avec toi
Et si tu t'abandonnes, que ce soit pour un roi... que ce soit pour un roi !
Si j'avais l'antidote aux chagrins d'amour
Je te rendrai plus forte pour que tu t'aimes un jour
Si j'avais l'antidote à tes peines de coeur
Je te rendrai plus forte... petite soeur
(Merci à Manon pour cettes paroles)
Letra powered by LyricFind