Letra de Le Rôdeur
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De l’ombre de Londres au soleil de Barcelone
You are my sea and the sun
I’m feeling alone
You are my sea and the sun
I’m feeling alone
Mais de l’au-delà des mers, d’où je viens les nuits sont amères
Is there anybody out there?
Dix milles à pied, ça use ça use
Ça use les souliers, les jours, les mois et les années
La semelle amincie
Par le béton des grandes métropoles
Le voyageur se voit contraint, soudain de renverser ses pôles
Et marchant maintenant sur les mains
Dos à son lendemain
Lendemain qui souvent déchire ne se tient jamais bien loin
Harassé et déraciné la fin justifie les moyens
Maintenant il ne peut qu’avancer en chantant très fort ce refrain
De l’ombre de Londres au soleil de Barcelone
Vingt milles à pied ça ruse ça ruse
Ça ruse les pensées qui jadis furent durement glacées
Et la tête baissée
Voyez-le, là bas, s’en aller
De son air las et consterné, martelant à poids ses péchés
Mais tout début a une fin
Et toute fin ramène au point de départ qui
Si l’on se rappelle bien donna plus de mal que de bien
En proie au futur incertain, mais que faire sinon rien
Que de chanter ce refrain en frappant très fort dans ses mains
De l’ombre de Londres au soleil de Barcelone
Et il ne s’en fallu de peu, d’un poil ou d’un cheveu
Qu’il s’en revienne, malheureux la tête lourde à qui mieux mieux
Manon vient danser le ska, n’oublie pas le nouveau pas
Manon vient danser le ska mais n’oublie pas
Que toute pensée demeure glacée, sous ce ciel gelé de mai
À quoi bon
À quoi bon oublier ces années passées à croire
À toutes sortes d’histoires, à chercher dans le noir
Le seul regret qui m’est donné
Est d’avoir compris trop tard que
De l’ombre de Londres au soleil de Barcelone
Is there anybody out there?
Dix milles à pied, ça use ça use
Ça use les souliers, les jours, les mois et les années
La semelle amincie
Par le béton des grandes métropoles
Le voyageur se voit contraint, soudain de renverser ses pôles
Et marchant maintenant sur les mains
Dos à son lendemain
Lendemain qui souvent déchire ne se tient jamais bien loin
Harassé et déraciné la fin justifie les moyens
Maintenant il ne peut qu’avancer en chantant très fort ce refrain
De l’ombre de Londres au soleil de Barcelone
Vingt milles à pied ça ruse ça ruse
Ça ruse les pensées qui jadis furent durement glacées
Et la tête baissée
Voyez-le, là bas, s’en aller
De son air las et consterné, martelant à poids ses péchés
Mais tout début a une fin
Et toute fin ramène au point de départ qui
Si l’on se rappelle bien donna plus de mal que de bien
En proie au futur incertain, mais que faire sinon rien
Que de chanter ce refrain en frappant très fort dans ses mains
De l’ombre de Londres au soleil de Barcelone
Et il ne s’en fallu de peu, d’un poil ou d’un cheveu
Qu’il s’en revienne, malheureux la tête lourde à qui mieux mieux
Manon vient danser le ska, n’oublie pas le nouveau pas
Manon vient danser le ska mais n’oublie pas
Que toute pensée demeure glacée, sous ce ciel gelé de mai
À quoi bon
À quoi bon oublier ces années passées à croire
À toutes sortes d’histoires, à chercher dans le noir
Le seul regret qui m’est donné
Est d’avoir compris trop tard que
De l’ombre de Londres au soleil de Barcelone
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