Letra de Les Nuits
Dans ce joli décor
A l’aube on s’est perdus
les rues sont toutes les mêmes
A l’aube on s’est perdus
les rues sont toutes les mêmes
les rues sont toutes les mêmes
dansons corps conter corps
demain on aura plus cette impression soudaine
que quelque chose nous freine
et quand le ciel se rallume
je ne vois que toi
on surf sur le bitume
tu guides mes pas
on flâne à toute allure
à l’aube on se perdra
les rues sont toutes les mêmes
les rues sont toutes les mêmes
on trace en bord de seine
à l’oreille tu me dis
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
on s’lasse des jours qui traînent
des dernières éclaircies
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
oh, on trace en bord de seine
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
oh, on s’lasse des jours qui traînent
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
j’te reconnais à peine
on m’avait prévenu
les filles sont toutes les mêmes
les filles sont toutes les mêmes
quelques jours en arrière
tu m’as tu m’avais eu
tu ne seras jamais pareil
tu ne seras jamais pareil
sous ce ciel, rose,
en abime
c’est si fou ce
qu’on s’abime
on trace en bord de seine
à l’oreille tu me dis
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
on s’lasse des jours qui traînent
des dernières éclaircies
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
oh, on trace en bord de seine
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
oh, on s’lasse des jours qui traînent
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
A l’aube on s’est perdus
demain on aura plus
A l’aube on s’est perdus
demain on aura plus
on trace en bord de seine
à l’oreille tu me dis
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
on s’lasse des jours qui traînent
des dernières éclaircies
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
oh, on trace en bord de seine
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
oh, on s’lasse des jours qui traînent
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
dansons corps conter corps
demain on aura plus cette impression soudaine
que quelque chose nous freine
et quand le ciel se rallume
je ne vois que toi
on surf sur le bitume
tu guides mes pas
on flâne à toute allure
à l’aube on se perdra
les rues sont toutes les mêmes
les rues sont toutes les mêmes
on trace en bord de seine
à l’oreille tu me dis
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
on s’lasse des jours qui traînent
des dernières éclaircies
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
oh, on trace en bord de seine
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
oh, on s’lasse des jours qui traînent
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
j’te reconnais à peine
on m’avait prévenu
les filles sont toutes les mêmes
les filles sont toutes les mêmes
quelques jours en arrière
tu m’as tu m’avais eu
tu ne seras jamais pareil
tu ne seras jamais pareil
sous ce ciel, rose,
en abime
c’est si fou ce
qu’on s’abime
on trace en bord de seine
à l’oreille tu me dis
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
on s’lasse des jours qui traînent
des dernières éclaircies
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
oh, on trace en bord de seine
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
oh, on s’lasse des jours qui traînent
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
A l’aube on s’est perdus
demain on aura plus
A l’aube on s’est perdus
demain on aura plus
on trace en bord de seine
à l’oreille tu me dis
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
on s’lasse des jours qui traînent
des dernières éclaircies
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
oh, on trace en bord de seine
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
oh, on s’lasse des jours qui traînent
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes