Letra de La Plata
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Ni les attraits des plus aimables Argentines
Ni les courses à cheval dans la Pampa
N’ont le pouvoir de distraire de son spleen
Ni les courses à cheval dans la Pampa
N’ont le pouvoir de distraire de son spleen
Le Consul Général de France à La Plata
N’ont le pouvoir de distraire de son spleen
Le Consul Général de France à La Plata
Il aime à galoper par nos plaines amères
Il jalouse la vie sauvage du Gaucho
Puis il retourne vers son palais consulaire
Et sa tristesse le drape comme un poncho
On raconte tout bas l’histoire du pauvre homme
Sa vie fut traversée d’un fatal amour
Et il prit la funeste manie de l’opium
Il occupait alors le poste à Singapour
Et il prit la funeste manie de l’opium
Il occupait alors le poste à Singapour
Il aime à galoper par nos plaines amères
Il jalouse la vie sauvage du Gaucho
Puis il retourne vers son palais consulaire
Et sa tristesse le drape comme un poncho
Il ne s’aperçoit pas je n’en suis que trop sûr
Que Lolita Valdez le regarde en souriant
Malgré sa tempe qui grisonne et sa figure
Ravagée par les fièvres d’Extrême-Orient
Malgré sa tempe qui grisonne et sa figure
Ravagée par les fièvres d’Extrême-Orient
Il aime à galoper par nos plaines amères
Il jalouse la vie sauvage du Gaucho
Puis il retourne vers son palais consulaire
Et sa tristesse le drape comme un poncho
Et sa tristesse le drape comme un poncho
N’ont le pouvoir de distraire de son spleen
Le Consul Général de France à La Plata
Il aime à galoper par nos plaines amères
Il jalouse la vie sauvage du Gaucho
Puis il retourne vers son palais consulaire
Et sa tristesse le drape comme un poncho
On raconte tout bas l’histoire du pauvre homme
Sa vie fut traversée d’un fatal amour
Et il prit la funeste manie de l’opium
Il occupait alors le poste à Singapour
Et il prit la funeste manie de l’opium
Il occupait alors le poste à Singapour
Il aime à galoper par nos plaines amères
Il jalouse la vie sauvage du Gaucho
Puis il retourne vers son palais consulaire
Et sa tristesse le drape comme un poncho
Il ne s’aperçoit pas je n’en suis que trop sûr
Que Lolita Valdez le regarde en souriant
Malgré sa tempe qui grisonne et sa figure
Ravagée par les fièvres d’Extrême-Orient
Malgré sa tempe qui grisonne et sa figure
Ravagée par les fièvres d’Extrême-Orient
Il aime à galoper par nos plaines amères
Il jalouse la vie sauvage du Gaucho
Puis il retourne vers son palais consulaire
Et sa tristesse le drape comme un poncho
Et sa tristesse le drape comme un poncho
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