Letra de Mon Voisin
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Aux rythmes d'une pendule
Semblant battements de cur
Le décor se bouscule
Semblant battements de cur
Le décor se bouscule
Je décompte mes moutons
Je détourne et retourne
D'infimes maladresses
Qui n'auront pas de cesse
De narguer nos humeurs
C'est triste d'aimer
Contre les heures qui passent
Et m'agacent,
C'est triste d'aimer contre les heures
C'est séparés par un mur
Sous la couette de la chambre voisine
Je n'attendais, en fait,
De ne plus voir ce matin,
Où tu ne m'aimerais plus
Et puis passent et repassent
Nos rimes et nos entrains
Qui feront tout oublier
De ce qui viendra demain
Je dépasse les détails
Pour ne voir que tes mains
Qui m'offrent encore une fois
Les notes d'histoire sans fin
C'est triste d'aimer
Contre les heures qui passent
Et m'agacent,
C'est triste d'aimer contre les heures
C'est séparés par un mur
Sous la couette de la chambre voisine
Je n'attendais, en fait,
De ne plus voir ce matin,
Où tu ne m'aimerais plus
Je m'enrhume à veiller
Les yeux en coin des draps
Pour t'écouter passer
Puis faire comme si de rien
Et les coussins s'affaissent
Reflets de nos erreurs
Le matin se rapproche
La chambre me fait peur...
C'est triste d'aimer
Contre les heures qui passent
Et m'agacent,
C'est triste d'aimer contre les heures
C'est séparés par un mur
Sous la couette de la chambre voisine
Je n'attendais, en fait,
De ne plus voir ce matin,
Où tu ne m'aimerais plus
Je détourne et retourne
D'infimes maladresses
Qui n'auront pas de cesse
De narguer nos humeurs
C'est triste d'aimer
Contre les heures qui passent
Et m'agacent,
C'est triste d'aimer contre les heures
C'est séparés par un mur
Sous la couette de la chambre voisine
Je n'attendais, en fait,
De ne plus voir ce matin,
Où tu ne m'aimerais plus
Et puis passent et repassent
Nos rimes et nos entrains
Qui feront tout oublier
De ce qui viendra demain
Je dépasse les détails
Pour ne voir que tes mains
Qui m'offrent encore une fois
Les notes d'histoire sans fin
C'est triste d'aimer
Contre les heures qui passent
Et m'agacent,
C'est triste d'aimer contre les heures
C'est séparés par un mur
Sous la couette de la chambre voisine
Je n'attendais, en fait,
De ne plus voir ce matin,
Où tu ne m'aimerais plus
Je m'enrhume à veiller
Les yeux en coin des draps
Pour t'écouter passer
Puis faire comme si de rien
Et les coussins s'affaissent
Reflets de nos erreurs
Le matin se rapproche
La chambre me fait peur...
C'est triste d'aimer
Contre les heures qui passent
Et m'agacent,
C'est triste d'aimer contre les heures
C'est séparés par un mur
Sous la couette de la chambre voisine
Je n'attendais, en fait,
De ne plus voir ce matin,
Où tu ne m'aimerais plus
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