Letra de Le Bonheur
Où suis-je, comment faire ?
Comment dire et comment taire ?
C'est souvent les questions que j'me pose en c'moment
Comment dire et comment taire ?
C'est souvent les questions que j'me pose en c'moment
Mais qui entreprend, moi-même je n'fais rien
J'ai peur de perdre, la mort me hante comme le vélo dans Shinning
Alors je vole des blocs de temps, je passe le temps
J'essaie d'еxister en prenant lеs devant, mais je suis à la traine
Il n'y a plus de repères, d'horizon et souvent c'est tant mieux
C'est à croire que sans guerre, sans raison, on ne s'aime pas mieux
Ralentir la chute, tu le vis ça n'est pas rien
Alors je m'occupe, pour éviter les lendemains
Et j'écoute le silence, car j'angoisse quand je pense
Peut-on vraiment y répondre, juste le décrire quand j'le sens
C'est un lâcher prise comme deux amoureux dans l'métro
Et j'ai la chance d'être écouté, d'être entouré
J’essaie d'exister avec intensité
Mais tout ça ne dure pas
Il n'y a plus de barrières pour se taire et souvent c'est dangereux
C'est à croire que la haine et être con, ça devient un jeu
Ralentir la chute, tu le vis ça n'est pas rien
Alors je m'occupe, pour éviter les lendemains
Ralentir la chute, tu le vis ça n'est pas rien
Et j'écoute le silence, car j'angoisse quand je pense
J'ai peur de perdre, la mort me hante comme le vélo dans Shinning
Alors je vole des blocs de temps, je passe le temps
J'essaie d'еxister en prenant lеs devant, mais je suis à la traine
Il n'y a plus de repères, d'horizon et souvent c'est tant mieux
C'est à croire que sans guerre, sans raison, on ne s'aime pas mieux
Ralentir la chute, tu le vis ça n'est pas rien
Alors je m'occupe, pour éviter les lendemains
Et j'écoute le silence, car j'angoisse quand je pense
Peut-on vraiment y répondre, juste le décrire quand j'le sens
C'est un lâcher prise comme deux amoureux dans l'métro
Et j'ai la chance d'être écouté, d'être entouré
J’essaie d'exister avec intensité
Mais tout ça ne dure pas
Il n'y a plus de barrières pour se taire et souvent c'est dangereux
C'est à croire que la haine et être con, ça devient un jeu
Ralentir la chute, tu le vis ça n'est pas rien
Alors je m'occupe, pour éviter les lendemains
Ralentir la chute, tu le vis ça n'est pas rien
Et j'écoute le silence, car j'angoisse quand je pense