Letra de Willie
Les chiens aboient, le train passe
C'est la nuit, pas loin de minuit
Les étoiles sont magnifiques
C'est la nuit, pas loin de minuit
Les étoiles sont magnifiques
Le ciel est noir de ce noir bleu
Que l'on voit quand on est triste ou bien joyeux
Les chiens aboient
Et Willie, le vieu Willie écrit
À toi, ma bouteille de whisky
Je lègue ma tristesse et mes ennuis
À toi, ma bouteille de whisky
Je lègue mes fuckin' soucis
J'ai raté ma vie
Ce n'était semble-t-il qu'une question de secondes
Elle ne tient qu'à un fil, notre place dans ce monde
Au détour d'une peine, je me suis égaré
Si loin qu'on se souvienne, ma mémoire est cassé
Mes amours étaient belles
Mais tout me les rappelle
Encore le labyrinthe, le destin qui m'esquinte
Les chiens aboient, le train passe
C'est la nuit, pas loin de minuit
Les étoiles sont magnifiques
Le ciel est noir de ce noir bleu
Que l'on voit quand on est triste ou bien joyeux
Ne soyez pas trop triste pour la fin de ma piste
Tous mes os me font mal
Ils m'attaquent en chacals
En combat inégal
Un peuple de démons, de fantômes en sommeil
Se cacherait-il au fond de toutes mes bouteilles
Je suis si vieux et où sont mes petites vieilles
Pour ma part, il me tarde de partir en voyage
Quitter cette famille de terreurs qui fourmillent
Les chiens aboient, le train passe
C'est la nuit, pas loin de minuit
Les étoiles sont magnifiques
Le ciel est noir de ce noir bleu
Que l'on voit quand on est triste ou bien joyeux
Au loin les flammes, au loin les flammes
Au loin les flammes, au loin les flammes
Au loin...
Et au vent qui emmènera la fumée de ma cabane en bois
Je lègue ma philosophie et aussi toute mes idées de génie
Et enfin à toi, le passant qui passera
Je te lègue ma ford nova
Je te préviens tout de suite:
L'amour n'existe pas
Au loin les flammes, au loin les flammes
Au loin les flammes, au loin les flammes
Que l'on voit quand on est triste ou bien joyeux
Les chiens aboient
Et Willie, le vieu Willie écrit
À toi, ma bouteille de whisky
Je lègue ma tristesse et mes ennuis
À toi, ma bouteille de whisky
Je lègue mes fuckin' soucis
J'ai raté ma vie
Ce n'était semble-t-il qu'une question de secondes
Elle ne tient qu'à un fil, notre place dans ce monde
Au détour d'une peine, je me suis égaré
Si loin qu'on se souvienne, ma mémoire est cassé
Mes amours étaient belles
Mais tout me les rappelle
Encore le labyrinthe, le destin qui m'esquinte
Les chiens aboient, le train passe
C'est la nuit, pas loin de minuit
Les étoiles sont magnifiques
Le ciel est noir de ce noir bleu
Que l'on voit quand on est triste ou bien joyeux
Ne soyez pas trop triste pour la fin de ma piste
Tous mes os me font mal
Ils m'attaquent en chacals
En combat inégal
Un peuple de démons, de fantômes en sommeil
Se cacherait-il au fond de toutes mes bouteilles
Je suis si vieux et où sont mes petites vieilles
Pour ma part, il me tarde de partir en voyage
Quitter cette famille de terreurs qui fourmillent
Les chiens aboient, le train passe
C'est la nuit, pas loin de minuit
Les étoiles sont magnifiques
Le ciel est noir de ce noir bleu
Que l'on voit quand on est triste ou bien joyeux
Au loin les flammes, au loin les flammes
Au loin les flammes, au loin les flammes
Au loin...
Et au vent qui emmènera la fumée de ma cabane en bois
Je lègue ma philosophie et aussi toute mes idées de génie
Et enfin à toi, le passant qui passera
Je te lègue ma ford nova
Je te préviens tout de suite:
L'amour n'existe pas
Au loin les flammes, au loin les flammes
Au loin les flammes, au loin les flammes
Jean Leloup
© Évangeline/APEM
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