Letra de Voyageur
Sombre est ta solitude, voyageur, pauvre guerrier sans peur
Dans la gare de nulle part tu attends ton prochain départ
Ou elle n'y seras pas celle que tu cherches et qui n'existe pas
Dans la gare de nulle part tu attends ton prochain départ
Ou elle n'y seras pas celle que tu cherches et qui n'existe pas
Et qui n'existe pas
Nous étions heureux
Tous les deux, disaient les amoureux
Et toujours le temps passe, qu'est-ce que tu veux qu'on fasse?
C'est la mort qui grimace, C'est la mort qui grimace!
Sombre est ta solitude, voyageur, pauvre guerrier sans peur
À travers la vitre embuée tu vois le paysage qui défile
Les poteaux de téléphone et les fils et enfin les champs de blé qui te prennent de rêver
Qui te prennent a rêver
Te rappelles-tu la table en fleurs, ta mère et tes soeurs,
Ton père et son déshonneur?
Sombre est ta solitude, voyageur, comme tu pleures, pauvre déserteur
Et soudain tu sens la douleur, et soudain tu sens ton coeur
Il ne te reste plus que quelques heures, voyageur, bientôt tu meurs, bientôt tu meurs
Après-demain comme avant-hier tout retourne à la poussière
Et ne subsiste que le destin de tes passages dans les trains
De ton visage et du sien de tes pas sur les chemins
Dors tranquille, ce n'est rien, juste un voyage un peu plus loin
Nous étions heureux
Tous les deux, disaient les amoureux
Et toujours le temps passe, qu'est-ce que tu veux qu'on fasse?
Tu vois la mort en face, c'est la vie qui te grimace!
Quoi? Quoi, corbeau qui passe dans le ciel? Dis-moi ou sont les hirondelles.
Quoi? Quoi, corbeau qui passe dans le ciel? Dis-moi ou sont les hirondelles.
Quoi? Quoi, corbeau qui passe dans le ciel? Dis-moi ou sont les hirondelles.
Quoi? Quoi, corbeau qui passe dans le ciel? Dis-moi ou sont les hirondelles.
(Merci à Laurence pour cettes paroles)
Nous étions heureux
Tous les deux, disaient les amoureux
Et toujours le temps passe, qu'est-ce que tu veux qu'on fasse?
C'est la mort qui grimace, C'est la mort qui grimace!
Sombre est ta solitude, voyageur, pauvre guerrier sans peur
À travers la vitre embuée tu vois le paysage qui défile
Les poteaux de téléphone et les fils et enfin les champs de blé qui te prennent de rêver
Qui te prennent a rêver
Te rappelles-tu la table en fleurs, ta mère et tes soeurs,
Ton père et son déshonneur?
Sombre est ta solitude, voyageur, comme tu pleures, pauvre déserteur
Et soudain tu sens la douleur, et soudain tu sens ton coeur
Il ne te reste plus que quelques heures, voyageur, bientôt tu meurs, bientôt tu meurs
Après-demain comme avant-hier tout retourne à la poussière
Et ne subsiste que le destin de tes passages dans les trains
De ton visage et du sien de tes pas sur les chemins
Dors tranquille, ce n'est rien, juste un voyage un peu plus loin
Nous étions heureux
Tous les deux, disaient les amoureux
Et toujours le temps passe, qu'est-ce que tu veux qu'on fasse?
Tu vois la mort en face, c'est la vie qui te grimace!
Quoi? Quoi, corbeau qui passe dans le ciel? Dis-moi ou sont les hirondelles.
Quoi? Quoi, corbeau qui passe dans le ciel? Dis-moi ou sont les hirondelles.
Quoi? Quoi, corbeau qui passe dans le ciel? Dis-moi ou sont les hirondelles.
Quoi? Quoi, corbeau qui passe dans le ciel? Dis-moi ou sont les hirondelles.
(Merci à Laurence pour cettes paroles)
Jean Leloup
© Évangeline/APEM
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