Letra de Les Négresses
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Quand la nuit vient s'étriper
Dans les ghettos noirs d'Harlem ou de Chicago
Elles ferment leurs carreaux, les négresses
Dans les ghettos noirs d'Harlem ou de Chicago
Elles ferment leurs carreaux, les négresses
Puis elles chantent à leurs marmots
Des histoires de chiots tous noirs & tous crépus
Qu'un diable aux yeux bleus tient en laisse.
C'est une chanson ancienne de 400 ans
Apprise à la chaîne & rentrée dans le sang
Les p'tits Jo-Louis s'endorment en la susurrant
Cependant qu'avec leurs hommes
Les négresses y dansent en la maudissant
Quand la nuit vient relever
Cette odeur de rebut qui s'agrippe aux cambuses
La lune même refuse d'y mettre le pied
Et si la brise y vient un peu,
Elle se tue au premier mur, au premier virage
Les poulaillers ont parfois 30 étages.
Quand ils se sont pas à Sing-Sing
Les plus grands s'amusent à couper la brume en 2
A jouer au black & jack
Et les filles aux lèvres opaques
se défrisent un peu
Pour un blond de Syracuse ou de Sebring
Qu'elles n'auront jamais
Quand la nuit vient s'étriper
Dans les ghettos noirs d'Harlem ou de Chicago
Elles ferment leurs carreaux, les négresses
Puis elles chantent à leurs marmots
Des histoires de chiots tous noirs & tous crépus
Qu'un diable aux yeux bleus tient en laisse.
Des histoires de chiots tous noirs & tous crépus
Qu'un diable aux yeux bleus tient en laisse.
C'est une chanson ancienne de 400 ans
Apprise à la chaîne & rentrée dans le sang
Les p'tits Jo-Louis s'endorment en la susurrant
Cependant qu'avec leurs hommes
Les négresses y dansent en la maudissant
Quand la nuit vient relever
Cette odeur de rebut qui s'agrippe aux cambuses
La lune même refuse d'y mettre le pied
Et si la brise y vient un peu,
Elle se tue au premier mur, au premier virage
Les poulaillers ont parfois 30 étages.
Quand ils se sont pas à Sing-Sing
Les plus grands s'amusent à couper la brume en 2
A jouer au black & jack
Et les filles aux lèvres opaques
se défrisent un peu
Pour un blond de Syracuse ou de Sebring
Qu'elles n'auront jamais
Quand la nuit vient s'étriper
Dans les ghettos noirs d'Harlem ou de Chicago
Elles ferment leurs carreaux, les négresses
Puis elles chantent à leurs marmots
Des histoires de chiots tous noirs & tous crépus
Qu'un diable aux yeux bleus tient en laisse.
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