Letra de Minoritaire
Je n'ai pas mérité de jouer du rock'n'roll
Mes ghettos mes idées ne sont pas homologues
J'ai pas le bon blouson j'ai pas les bonnes bottes
Mes ghettos mes idées ne sont pas homologues
J'ai pas le bon blouson j'ai pas les bonnes bottes
Et en haut de mon bras je n'ai rien fait tatouer.
J'ai donné aux curés du sauvetage collectif
J'ai joué les mêmes notes swingué les mêmes riffs
Peu a peu j'ai compris les données du débat
Que rien ne bouge et l'égalité par le bas.
Et tant pis si la foule gronde
Si je ne tourne pas dans la ronde
Papa quand je serai grand je sais que je veux faire
Je veux être minoritaire.
J'ai pas peur
J'ai mon temps mes heures
Un cerveau un ventre et un c?ur
Et le droit à l'erreur.
J'ai pas la fascination des petites tueurs
Miniloubarrivistes ou grands rastallumés
Les rats de la misère et ses perpetueurs
Qui jouent tellement bien le rôle qu'on leur fait jouer
Je ne sais pas encore d'où viendra la lumière
Les solutions magiques plus douces et plus belles
Je ne suis pas certain qu'elle sortira des computers
Mais je suis sur qu'elle ne viendra jamais des poubelles.
J'en pendu mon cerveau aux potences du ciel
Je l'ai pendu si haut et je rêve quand même
J'ai vendu mes oreilles aux silences des hommes
Jusqu'au fond du sommeil je les entend qui sonnent
J'ai jeté leurs prières et leurs plaintes sans larmes
Et je me suis reforgé de nouvelles armes
Pour ne plus m'attendrir pour ne plus en souffrir
Pour entendre et sentir avant de réfléchir.
J'ai donné aux curés du sauvetage collectif
J'ai joué les mêmes notes swingué les mêmes riffs
Peu a peu j'ai compris les données du débat
Que rien ne bouge et l'égalité par le bas.
Et tant pis si la foule gronde
Si je ne tourne pas dans la ronde
Papa quand je serai grand je sais que je veux faire
Je veux être minoritaire.
J'ai pas peur
J'ai mon temps mes heures
Un cerveau un ventre et un c?ur
Et le droit à l'erreur.
J'ai pas la fascination des petites tueurs
Miniloubarrivistes ou grands rastallumés
Les rats de la misère et ses perpetueurs
Qui jouent tellement bien le rôle qu'on leur fait jouer
Je ne sais pas encore d'où viendra la lumière
Les solutions magiques plus douces et plus belles
Je ne suis pas certain qu'elle sortira des computers
Mais je suis sur qu'elle ne viendra jamais des poubelles.
J'en pendu mon cerveau aux potences du ciel
Je l'ai pendu si haut et je rêve quand même
J'ai vendu mes oreilles aux silences des hommes
Jusqu'au fond du sommeil je les entend qui sonnent
J'ai jeté leurs prières et leurs plaintes sans larmes
Et je me suis reforgé de nouvelles armes
Pour ne plus m'attendrir pour ne plus en souffrir
Pour entendre et sentir avant de réfléchir.
GOLDMAN, JEAN-JACQUES
© Universal Music Publishing Group
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