Letra de 6/8
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Well, well, well (x5)
Java en live and direct,
Approcher messieurs dames, ils sont venus, ils tous là,
Java en live and direct,
Approcher messieurs dames, ils sont venus, ils tous là,
Dès qu'ils ont entendu ces cris : "Elle va mourir, oh la mama".
Et oui, en live and direct, on est chaud là-d'dans!
Venez vous dorer la pilule, sous les affreux projecteurs.
Vous allez découvrir sous vos yeux dans ce style harangueur,
Le grand spectacle haut en couleur, tout en mystère et en surprise.
Mais oui, on a vu les choses en grand messieurs dames.
Et pour une modique somme de quelques euros,
On ne paye pas en livre sterling, en réal, en rouble.
Ben oui, mais c'est donné, mais arrêtez, mais c'est donné!
Vu la grande pléiade de l'artiste,
Le florilège de l'émotion qui vous attende,
La palette de numéros.
Alors on y va, on approche, on approche,
S'il vous plait messieurs dames.
Vous les entendez derrière moi, regardez, les musiciens sont là.
Il y a même un petit orgue pour vous, écoutez-moi ça !
Alors, allez-y!
Tous les sujets seront abordés ce soir,
[Oui ma p'tite dame, approchez]
Dans la mesure des possibilités bien sûr.
[Messieurs/dames oui, y'a d'la place,
Y'a d'la place pour tout le monde.
On approche.
Allez-y, allez-y !
Oui, là ici, là.
Oui là, y'a d'la place, tu t'ramènes ?
Là, devant.
Tu te pousses, toi.
... ]
Il y aura le yin, le yang,
Le sel et le poivre,
Le tic et le toc.
Elle est où la carte ?
Elle est partie, elle est plus là ?
Eh tu l'as trouvée ?
Dans toutes les langues, bien sûr, je le disais :
Wilkommen,
Bienvenido,
Arrivederci,
(?),
Tutti quanti
[...]
Do I fuck me ?
Do I fuck you ?
Aaaaaaaaaaaaaaaaah !
Je le disais, je le répète, je le redis, je le recris :
Il y en aura pour tout le monde,
C'est que du bonheur en barre
Les doigts de pieds en éventail,
La double banane.
On se régale d'avance, on s'en pourliche les papilles.
Alors vous allez me remuer ça.
C'est pas à vos méninges qu'on s'adresse, mais à vos tripes !
Alors déridez-vous, déridez-vous mesdames.
Adoucissez-moi tous ces testostéroneux avec de la sensualité.
Des femmes, des vraies avec le porte-jarretelle et le fume-cigarette.
Tous ces à-côtés, ces enjolivures,
Qui permettent de récolter, de réguler!
Le trop plein de violence qu'il y a sur cette planète.
De l'amour, du subterfuge !
Eh oui de l'amour, de l'amour !
Et derrière moi qui va vous en donner ?
Il est là, le grand,
Avec ces percussions vaudou bien sûr.
Mais aussi il y aura,
Bien sûr, les doigts de porcelaine sur des boutons de nacre,
Cette frissonnette de pacotille pour faire chavirer le cur des demoiselles.
Du bal moderne à l'ancienne, version Sound System.
Du comique au tragique, du tragique au comique et vice-et-versa et tutti quanti !
Un grand frisson sort du grand vide.
Je vous laisse, place à la musique! Et à tout de suite!
(Merci à Bob Blob pour cettes paroles)
Et oui, en live and direct, on est chaud là-d'dans!
Venez vous dorer la pilule, sous les affreux projecteurs.
Vous allez découvrir sous vos yeux dans ce style harangueur,
Le grand spectacle haut en couleur, tout en mystère et en surprise.
Mais oui, on a vu les choses en grand messieurs dames.
Et pour une modique somme de quelques euros,
On ne paye pas en livre sterling, en réal, en rouble.
Ben oui, mais c'est donné, mais arrêtez, mais c'est donné!
Vu la grande pléiade de l'artiste,
Le florilège de l'émotion qui vous attende,
La palette de numéros.
Alors on y va, on approche, on approche,
S'il vous plait messieurs dames.
Vous les entendez derrière moi, regardez, les musiciens sont là.
Il y a même un petit orgue pour vous, écoutez-moi ça !
Alors, allez-y!
Tous les sujets seront abordés ce soir,
[Oui ma p'tite dame, approchez]
Dans la mesure des possibilités bien sûr.
[Messieurs/dames oui, y'a d'la place,
Y'a d'la place pour tout le monde.
On approche.
Allez-y, allez-y !
Oui, là ici, là.
Oui là, y'a d'la place, tu t'ramènes ?
Là, devant.
Tu te pousses, toi.
... ]
Il y aura le yin, le yang,
Le sel et le poivre,
Le tic et le toc.
Elle est où la carte ?
Elle est partie, elle est plus là ?
Eh tu l'as trouvée ?
Dans toutes les langues, bien sûr, je le disais :
Wilkommen,
Bienvenido,
Arrivederci,
(?),
Tutti quanti
[...]
Do I fuck me ?
Do I fuck you ?
Aaaaaaaaaaaaaaaaah !
Je le disais, je le répète, je le redis, je le recris :
Il y en aura pour tout le monde,
C'est que du bonheur en barre
Les doigts de pieds en éventail,
La double banane.
On se régale d'avance, on s'en pourliche les papilles.
Alors vous allez me remuer ça.
C'est pas à vos méninges qu'on s'adresse, mais à vos tripes !
Alors déridez-vous, déridez-vous mesdames.
Adoucissez-moi tous ces testostéroneux avec de la sensualité.
Des femmes, des vraies avec le porte-jarretelle et le fume-cigarette.
Tous ces à-côtés, ces enjolivures,
Qui permettent de récolter, de réguler!
Le trop plein de violence qu'il y a sur cette planète.
De l'amour, du subterfuge !
Eh oui de l'amour, de l'amour !
Et derrière moi qui va vous en donner ?
Il est là, le grand,
Avec ces percussions vaudou bien sûr.
Mais aussi il y aura,
Bien sûr, les doigts de porcelaine sur des boutons de nacre,
Cette frissonnette de pacotille pour faire chavirer le cur des demoiselles.
Du bal moderne à l'ancienne, version Sound System.
Du comique au tragique, du tragique au comique et vice-et-versa et tutti quanti !
Un grand frisson sort du grand vide.
Je vous laisse, place à la musique! Et à tout de suite!
(Merci à Bob Blob pour cettes paroles)
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