Letra de Marécages
Mon corps inerte laisse les corbeaux repus
Tous mes sentiments dans la corbeille
Je sais pas c’que je veux je sais c’que je n’veux plus
Tous mes sentiments dans la corbeille
Je sais pas c’que je veux je sais c’que je n’veux plus
Laisse une dernière page sur le gros orteil
Que des vautours pour mon cortège
C’est la neuvième porte qui me protège
Ramène le prophète qu’on en profite
Vous battez pas pour mon cœur j’n’ai que prothèse, Ouai
Amour impossible envie grotesque
Corps blanchâtre sur un bord de champ
La vie est injuste vas y proteste
Vision d'horreur sur un grand écran
Le prêtre est mort dans le clocher
Cheval maudit pour le cocher
Je n’ai plus grand chose a quoi m'accrocher, fauché
Seuls mes démons peuvent m'approcher, Ouai
Repos trouver dans les noirs marécages
L'horloge interne est en plein déréglage
L'amour est empreint à la mort
Que des ombres présentes à mon feu mariage
J’attends encore qu’on me sorte de la pièce, enfant mort dans le coffre à jouet
Un rat s’assied pour ce rassasier, de toutes ces âmes naufragés
Ouai
Mon coeur sous la presse
Goutte de sentiments pour ces succubes, j'entends leurs ailes qui s’empressent
Ouai
Marécage boueux dans t’es cauchemars
Oh ton adn le long du cochoir
Que des vautours pour mon cortège
C’est la neuvième porte qui me protège
Ramène le prophète qu’on en profite
Vous battez pas pour mon cœur j’n’ai que prothèse, Ouai
Amour impossible envie grotesque
Corps blanchâtre sur un bord de champ
La vie est injuste vas y proteste
Vision d'horreur sur un grand écran
Le prêtre est mort dans le clocher
Cheval maudit pour le cocher
Je n’ai plus grand chose a quoi m'accrocher, fauché
Seuls mes démons peuvent m'approcher, Ouai
Repos trouver dans les noirs marécages
L'horloge interne est en plein déréglage
L'amour est empreint à la mort
Que des ombres présentes à mon feu mariage
J’attends encore qu’on me sorte de la pièce, enfant mort dans le coffre à jouet
Un rat s’assied pour ce rassasier, de toutes ces âmes naufragés
Ouai
Mon coeur sous la presse
Goutte de sentiments pour ces succubes, j'entends leurs ailes qui s’empressent
Ouai
Marécage boueux dans t’es cauchemars
Oh ton adn le long du cochoir