Letra de Peines Profondes
Fais gaffe à ce que tu dis et de qui tu te fous
Certaines plaies marquent à vie, ici tout a un coût
Les peines les plus profondes peuvent déclencher la foudre
Fais gaffe à ce que tu dis et de qui tu te fous
Certaines plaies marquent à vie, ici tout a un coût
Les peines les plus profondes peuvent déclencher la foudre
Jean, baskets, t-shirt comme tous les gars de son âge
Premier jour de classe pleine de trac, Steve est en nage
Nouveau dans le quartier, il sait que personne ne le connaît
Mais droit devant l'entrée, il sait bien que c'est plus l'heure d'hésiter
Tout le monde le regarde, et certains groupes sont déjà formés
Les règles ont changé, il faudra qu'il se tienne informé
Côté sapes il savait pas donc il a prit aucun risque
Apparemment dans le secteur, on s'habille pas dans les fripes
Pas de sous à la maison donc la mode on l'esquive
Avec les filles y'a pas bon, Steve a pas le bon style
Devant l'ordi chaque soir il voit bien qu'on parle que de lui
Bon élève, le meilleur, donc le pire des amis
Timide et gaillard, certains disent de lui qu'il est gros
Et même ses parents, ses frères, tout le monde dit qu'il mange trop
C'est fou qu'on puisse faire du mal en pensant faire du bien
Ces petits mots anodins qui peuvent traumatiser un gamin
6 mois ont passé, ça va de plus en plus mal
Au point de plus vouloir se lever de rester scotché au plumard
Degun s'inquiète, tous pensent au fond que c'est un gros flemmard
A croire qu'ils ont plus d'amour pour leur chat et leur clébard
Il a pris son Ipod et il se l'est fait racketter
S'est fait traiter de chiffe molle parce qu'il aime pas se bagarrer
Trop de moqueries et d'injures, de gêne dure à gérer
Déjà un genoux à terre, Facebook va l'achever
Ce matin là Steve se lève et se dit d'un air décidé
Y'en a marre de ces cons et marre de leur servir de cible, et
Y'en a marre de gueuler, ma voix s’étouffe sous les rires mais
Maintenant que j'ai mon M16 on va voir si ça les fait marrer
Fais gaffe à ce que tu dis et de qui tu te fous
Certaines plaies marquent à vie, ici tout a un coût
Les peines les plus profondes peuvent déclencher la foudre
Salle de bain miroir, elle se regarde un long moment
Une respiration profonde, le sol fout l'camp
Sous ses jambes, recule, fait un mouvement
Vers la porte et attrape l'écharpe sort comme elle le fait tout l'temps
Elle répète tous les matins le même trajet
La ville à traverser, elle sait, les gens sont fâchés
Avant c'était avec le sourire il s'est éteint
Le quotidien doucement s'est pourri
La roue du sort a fait la toupie
Malgré les changements d'styles de coupes et les relookings
Enfant ballotté par divers sentiments
"Mochetée" dans la bouche de son père comme seul compliment
Il la croisait dans la piaule marmonnait "mais qu'est ce qu'elle fout là ?"
C'était l'étoile de sa mère, pour ça elle l'a appelée Stella
Une enfance, des cris d'émotions contraire
Elle a grandit et ado elle s'est retrouvée bourrée de complexes
Quand peu après elle a dégoté ce taf elle était plus stable
Introvertie, moral en vrac, son patron l'a mise à l'aise, pris sous son aile
Son regard la fait se sentir belle et dieu sait qu'elle l'est
Ses mains ont fini par carresser ses reins nus
Elle s'est embrasée pour tout l'amour qu'elle n'a pas reçu
Père et amant un rôle dur a tenir
Déjà père d'un enfant, marié, rien à offrir
Il l'a quitté, le choc fut immense pour elle
Et l'amour haine tire à boulets rouges ses doux rêves
Elle entre dans son bureau accroche une corde
Et lui la trouve pendu quand il franchi la porte
Fais gaffe à ce que tu dis et de qui tu te fous
Certaines plaies marquent à vie, ici tout a un coût
Les peines les plus profondes peuvent déclencher la foudre
Fais gaffe à ce que tu dis et de qui tu te fous
Certaines plaies marquent à vie, ici tout a un coût
Les peines les plus profondes peuvent déclencher la foudre
Certaines plaies marquent à vie, ici tout a un coût
Les peines les plus profondes peuvent déclencher la foudre
Fais gaffe à ce que tu dis et de qui tu te fous
Certaines plaies marquent à vie, ici tout a un coût
Les peines les plus profondes peuvent déclencher la foudre
Jean, baskets, t-shirt comme tous les gars de son âge
Premier jour de classe pleine de trac, Steve est en nage
Nouveau dans le quartier, il sait que personne ne le connaît
Mais droit devant l'entrée, il sait bien que c'est plus l'heure d'hésiter
Tout le monde le regarde, et certains groupes sont déjà formés
Les règles ont changé, il faudra qu'il se tienne informé
Côté sapes il savait pas donc il a prit aucun risque
Apparemment dans le secteur, on s'habille pas dans les fripes
Pas de sous à la maison donc la mode on l'esquive
Avec les filles y'a pas bon, Steve a pas le bon style
Devant l'ordi chaque soir il voit bien qu'on parle que de lui
Bon élève, le meilleur, donc le pire des amis
Timide et gaillard, certains disent de lui qu'il est gros
Et même ses parents, ses frères, tout le monde dit qu'il mange trop
C'est fou qu'on puisse faire du mal en pensant faire du bien
Ces petits mots anodins qui peuvent traumatiser un gamin
6 mois ont passé, ça va de plus en plus mal
Au point de plus vouloir se lever de rester scotché au plumard
Degun s'inquiète, tous pensent au fond que c'est un gros flemmard
A croire qu'ils ont plus d'amour pour leur chat et leur clébard
Il a pris son Ipod et il se l'est fait racketter
S'est fait traiter de chiffe molle parce qu'il aime pas se bagarrer
Trop de moqueries et d'injures, de gêne dure à gérer
Déjà un genoux à terre, Facebook va l'achever
Ce matin là Steve se lève et se dit d'un air décidé
Y'en a marre de ces cons et marre de leur servir de cible, et
Y'en a marre de gueuler, ma voix s’étouffe sous les rires mais
Maintenant que j'ai mon M16 on va voir si ça les fait marrer
Fais gaffe à ce que tu dis et de qui tu te fous
Certaines plaies marquent à vie, ici tout a un coût
Les peines les plus profondes peuvent déclencher la foudre
Salle de bain miroir, elle se regarde un long moment
Une respiration profonde, le sol fout l'camp
Sous ses jambes, recule, fait un mouvement
Vers la porte et attrape l'écharpe sort comme elle le fait tout l'temps
Elle répète tous les matins le même trajet
La ville à traverser, elle sait, les gens sont fâchés
Avant c'était avec le sourire il s'est éteint
Le quotidien doucement s'est pourri
La roue du sort a fait la toupie
Malgré les changements d'styles de coupes et les relookings
Enfant ballotté par divers sentiments
"Mochetée" dans la bouche de son père comme seul compliment
Il la croisait dans la piaule marmonnait "mais qu'est ce qu'elle fout là ?"
C'était l'étoile de sa mère, pour ça elle l'a appelée Stella
Une enfance, des cris d'émotions contraire
Elle a grandit et ado elle s'est retrouvée bourrée de complexes
Quand peu après elle a dégoté ce taf elle était plus stable
Introvertie, moral en vrac, son patron l'a mise à l'aise, pris sous son aile
Son regard la fait se sentir belle et dieu sait qu'elle l'est
Ses mains ont fini par carresser ses reins nus
Elle s'est embrasée pour tout l'amour qu'elle n'a pas reçu
Père et amant un rôle dur a tenir
Déjà père d'un enfant, marié, rien à offrir
Il l'a quitté, le choc fut immense pour elle
Et l'amour haine tire à boulets rouges ses doux rêves
Elle entre dans son bureau accroche une corde
Et lui la trouve pendu quand il franchi la porte
Fais gaffe à ce que tu dis et de qui tu te fous
Certaines plaies marquent à vie, ici tout a un coût
Les peines les plus profondes peuvent déclencher la foudre
Fais gaffe à ce que tu dis et de qui tu te fous
Certaines plaies marquent à vie, ici tout a un coût
Les peines les plus profondes peuvent déclencher la foudre
Geoffroy Mussard, Pascal Perez, Philippe Tristan Fragione, Sebastien Georges Damiani
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