Letra de L'enfoiré
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Double verre de whisky
Frappe tah Lewandowski
Tu la verras pas venir
Frappe tah Lewandowski
Tu la verras pas venir
Comme quand ça tire
Tah Vladimir
Eh, tu l'verras pas venir comme quand ça tire
C'est l'histoire d'un mec qui veut s'refaire comme Vladimir
Mais ça va mal finir, c'est les cités, c'est pas des gamineries
Bicrave des grammes de machichi, fais pas d'graffiti
Dans sa tête, c'est GTA San Andreas ou bien Vice City
Comportement d'OG, respecté comme CJ
La rue l'identifie, les délits s’amplifient
Les ients-cli l'enrichissent mais délaissent vite le shit pour liquider d'la coke
Faire tapiner des putes et la re-sœu des autres
Quarante trois Maroki, jamais très loin d'ses côtes
Tu vois j'te parle de quel genre de mec
Il traîne avec Zepek mais c'est pas Travis Scott, il aime la rue d'Aerschot
Et les assiettes scampis, en 2012 au placard il cantine
Bé-tom jamais pour des centimes, plus rien peut l'attendrir
Il baisera pas Sandrine, il baissera pas son jean
J'avoue c'est gore mais la prison le rend d'plus en plus fort
Distribue que d'la mort dès qu’il tigisogort, il fera pire encore
Trois ans plus tard, il rebé-tom, rebelote à Nanterre
Mais crois pas qu'il s'endort, son blase est légendaire
Avant sa mort, juste avant qu'on l'enterre
Il veut d'l'or et s'repentir pour pas goûter l'Enfer
La rue et les affaires lui ramènent fort d'la prison ferme
Encule tous les conseils, bats les couilles des grands frères
Pour récupérer du gent-ar, l'esprit sait comment faire, fais ça sans commentaire
Mentalité d'gangster, y a que des fils de putes qui lui souhaitent le cancer
Toujours dans les transferts, de Villeneuve à Saint-Ouen, il a fait des pleins phares
Y a que d'vant le commissaire qu'il est plus très bavard
Remets tout à plus tard, respecte tous les bus-bar, il arrive quand tu pars
Y'a qu'en promenade ou dans les cités que t'as déjà dû l'voir
C'est un arabe au cœur noir, moitié kosovar, un Mexicain notoire
Moi, j'sais qu'il aime trop boire et rester en attaque
Il connaît toutes les plaques des équipes de la dép' et les mecs de la BAC
La police le débecte mais faut bien qu'il s'adapte
C'est au placard que les jours se répètent
J'l'ai déjà vu faire des grammes de zipette à l'aveuglette
Dernièrement, j'l'ai vu d'mes yeux, il crossait son voisin
Apparemment, c'est son cousin qui braque les magasins
Calcule pas les vagins vu qu'il aime trop l'argent
Cousine, il a pas l'temps, c'est un vrai attaquant, que dans les déplacements
Essaye pas d'le cher-bran, il s'est déjà lé-bran, tu sais bien qu'il est grand
Lui dis pas qu'il est temps d'arrêter tout ça, c'est un pur yakuza, il peut mourir pour ça
Et baiser la Cosa, faire une Totò Riina avec Provenzano
Généralement, il baise des putes et il mange au McDo', il possède pas d'château, c'est pas El Chapo
C'est juste un vrai charo', tu vois déjà l'tableau
Il fait jamais d'cadeau, que des Khabta au Jack pour mieux se rétablir
Ses plans sont établis, j'te raconte toute sa vie
Tu peux la faire à d'autres ; ici rien est gratuit, il supporte que Paris
Pour lui, tout est carré comme le Nord d'la Corée
La rue, même la maison d'arrêt, il aime trop les cités
Il nettoie son tard-pé toujours dans son quartier, c'est Medellín Cartel
Il fonce à l’Ile-Saint-Denis, bicrave ça comme Barksdale
Avec tous les esprits, la police l'interpelle
Il revient d’Eindhoven ou bien d’Antwerpen
Les esprits sont bres-som, c'est pas un socialiste ni un franc-maçon
C'est juste un grand garçon qui boit des rres-ve d'Whisky sans glaçon
Hé, ma grande, s'te plaît, fais pas la belle s'il t'a ken au Timhotel, t'auras pas d'prix Nobel
J'te donne deux-trois conseils pour faire un peu d'oseille
Prends ta chienne, mets-la sur VivaStreet ou sur SexModel
Achète-lui six phones-tel', tu vas faire un bordel
Paris, c'est pas L.A., c'est Mexico et Medellin Cartel
Vincent, c'est Vince Diesel sur le périphérique
Et Loulou, c'est Derrick, la départementale bosse comme en Amérique
Y a beaucoup d'gens qui flippent, la moitié savent que ça peut aller vite
C'est nous, les rats des villes, c'est pas une tragédie
Many, j'le cace-dédi, les autres se travestissent
Pendant qu'on investit sur la bonne machichi, quitte à ber-tom l'été
Le charbon, c'est l'métier, le jargon bien salé pour sortir d'un guêpier
Ici, c'est les cités et j'te déconseille d'y mettre les pieds (d'y mettre les pieds, d'y mettre les pieds, d'y mettre les pieds)
Tah Vladimir
Eh, tu l'verras pas venir comme quand ça tire
C'est l'histoire d'un mec qui veut s'refaire comme Vladimir
Mais ça va mal finir, c'est les cités, c'est pas des gamineries
Bicrave des grammes de machichi, fais pas d'graffiti
Dans sa tête, c'est GTA San Andreas ou bien Vice City
Comportement d'OG, respecté comme CJ
La rue l'identifie, les délits s’amplifient
Les ients-cli l'enrichissent mais délaissent vite le shit pour liquider d'la coke
Faire tapiner des putes et la re-sœu des autres
Quarante trois Maroki, jamais très loin d'ses côtes
Tu vois j'te parle de quel genre de mec
Il traîne avec Zepek mais c'est pas Travis Scott, il aime la rue d'Aerschot
Et les assiettes scampis, en 2012 au placard il cantine
Bé-tom jamais pour des centimes, plus rien peut l'attendrir
Il baisera pas Sandrine, il baissera pas son jean
J'avoue c'est gore mais la prison le rend d'plus en plus fort
Distribue que d'la mort dès qu’il tigisogort, il fera pire encore
Trois ans plus tard, il rebé-tom, rebelote à Nanterre
Mais crois pas qu'il s'endort, son blase est légendaire
Avant sa mort, juste avant qu'on l'enterre
Il veut d'l'or et s'repentir pour pas goûter l'Enfer
La rue et les affaires lui ramènent fort d'la prison ferme
Encule tous les conseils, bats les couilles des grands frères
Pour récupérer du gent-ar, l'esprit sait comment faire, fais ça sans commentaire
Mentalité d'gangster, y a que des fils de putes qui lui souhaitent le cancer
Toujours dans les transferts, de Villeneuve à Saint-Ouen, il a fait des pleins phares
Y a que d'vant le commissaire qu'il est plus très bavard
Remets tout à plus tard, respecte tous les bus-bar, il arrive quand tu pars
Y'a qu'en promenade ou dans les cités que t'as déjà dû l'voir
C'est un arabe au cœur noir, moitié kosovar, un Mexicain notoire
Moi, j'sais qu'il aime trop boire et rester en attaque
Il connaît toutes les plaques des équipes de la dép' et les mecs de la BAC
La police le débecte mais faut bien qu'il s'adapte
C'est au placard que les jours se répètent
J'l'ai déjà vu faire des grammes de zipette à l'aveuglette
Dernièrement, j'l'ai vu d'mes yeux, il crossait son voisin
Apparemment, c'est son cousin qui braque les magasins
Calcule pas les vagins vu qu'il aime trop l'argent
Cousine, il a pas l'temps, c'est un vrai attaquant, que dans les déplacements
Essaye pas d'le cher-bran, il s'est déjà lé-bran, tu sais bien qu'il est grand
Lui dis pas qu'il est temps d'arrêter tout ça, c'est un pur yakuza, il peut mourir pour ça
Et baiser la Cosa, faire une Totò Riina avec Provenzano
Généralement, il baise des putes et il mange au McDo', il possède pas d'château, c'est pas El Chapo
C'est juste un vrai charo', tu vois déjà l'tableau
Il fait jamais d'cadeau, que des Khabta au Jack pour mieux se rétablir
Ses plans sont établis, j'te raconte toute sa vie
Tu peux la faire à d'autres ; ici rien est gratuit, il supporte que Paris
Pour lui, tout est carré comme le Nord d'la Corée
La rue, même la maison d'arrêt, il aime trop les cités
Il nettoie son tard-pé toujours dans son quartier, c'est Medellín Cartel
Il fonce à l’Ile-Saint-Denis, bicrave ça comme Barksdale
Avec tous les esprits, la police l'interpelle
Il revient d’Eindhoven ou bien d’Antwerpen
Les esprits sont bres-som, c'est pas un socialiste ni un franc-maçon
C'est juste un grand garçon qui boit des rres-ve d'Whisky sans glaçon
Hé, ma grande, s'te plaît, fais pas la belle s'il t'a ken au Timhotel, t'auras pas d'prix Nobel
J'te donne deux-trois conseils pour faire un peu d'oseille
Prends ta chienne, mets-la sur VivaStreet ou sur SexModel
Achète-lui six phones-tel', tu vas faire un bordel
Paris, c'est pas L.A., c'est Mexico et Medellin Cartel
Vincent, c'est Vince Diesel sur le périphérique
Et Loulou, c'est Derrick, la départementale bosse comme en Amérique
Y a beaucoup d'gens qui flippent, la moitié savent que ça peut aller vite
C'est nous, les rats des villes, c'est pas une tragédie
Many, j'le cace-dédi, les autres se travestissent
Pendant qu'on investit sur la bonne machichi, quitte à ber-tom l'été
Le charbon, c'est l'métier, le jargon bien salé pour sortir d'un guêpier
Ici, c'est les cités et j'te déconseille d'y mettre les pieds (d'y mettre les pieds, d'y mettre les pieds, d'y mettre les pieds)
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