Letra de Begin
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Penses-tu pouvoir nous faire du mal ?
À nous, nous, nous, nous, nous, nous
Un jour on pleure, l’autre jour tu meurs
À nous, nous, nous, nous, nous, nous
Un jour on pleure, l’autre jour tu meurs
Chez nous, nous, nous, nous, nous
Quand l’ghetto chante c’est stylé
Car c’est nous, nous, nous, nous, nous
Tu n’pourras pas assumer
Car c’est nous, nous, nous, nous, nous
J’suis dans ma bulle, dans ma tour
Le succès te donne des couilles
Paname est trop petit pour s’faire la guerre par vidéos
Oui, moi j’ai pas le temps, j’suis loin du peloton
Dans l’partage du talent, toi t’as les restes, restes
J’rappe pas pour les minots, j’fais d’la monnaie
Chérie baigne-toi dans mes sons
Putain j’te bire un dream en stéréo
Bitch, tu me sollicites pour qu’on te plébiscite
Autant demander un cunni à un aigle
Tu n’saisis pas mes punchlines ? Manque de culture
Le H sur ta hotline : haute-couture
Le savoir était notre arme, dans le futur
Le soir j’écoute du Kemso dans ma voiture
T’as rien inventé, j’viens t’éventrer
T’as fermé toutes les portes, j’suis rentré par la toiture
Hors-norme, mon inspi’ vient de Saturne
Donc fuck ta tune, car tu payeras en nature
J’suis noir comme ma musique, des coups j’en ai subis
L’arme est froide, bien qu’le fournisseur soit sudiste
Penses-tu pouvoir nous faire du mal ?
À nous, nous, nous, nous, nous, nous
Un jour on pleure, l’autre jour tu meurs
Chez nous, nous, nous, nous, nous
Quand l’ghetto chante c’est stylé
Car c’est nous, nous, nous, nous, nous
Tu n’pourras pas assumer
Car c’est nous, nous, nous, nous, nous
Tu connais mon équipe, histoire maléfique
Housse noire magnétique, soudain tu vivras faussement
Les somnifères endorment mais ne sauvent pas
Orné de faux frères pour ta dernière messe
T’as voulu nous bloquer
Peut-on éteindre les étoiles avec un sceau d’eau ?
La plupart dans la musique on autant de couilles
Qu’il y a de res-frè chez les nudistes
C’est quand je veux ça finit, Gotham chimique
J’suis seul contre six mille, sans sentiments
Tes dents sur l’ciment, et j’écrase mon talon sur ta nuque
La garde chahad, meurt mais ne se rend pas
La balle chiale, part mais ne te rate pas, enfoiré
Penses-tu pouvoir nous faire du mal ?
À nous, nous, nous, nous, nous, nous
Un jour on pleure, l’autre jour tu meurs
Chez nous, nous, nous, nous, nous
Quand l’ghetto chante c’est stylé
Car c’est nous, nous, nous, nous, nous
Tu n’pourras pas assumer
Car c’est nous, nous, nous, nous, nous
Quand l’ghetto chante c’est stylé
Car c’est nous, nous, nous, nous, nous
Tu n’pourras pas assumer
Car c’est nous, nous, nous, nous, nous
J’suis dans ma bulle, dans ma tour
Le succès te donne des couilles
Paname est trop petit pour s’faire la guerre par vidéos
Oui, moi j’ai pas le temps, j’suis loin du peloton
Dans l’partage du talent, toi t’as les restes, restes
J’rappe pas pour les minots, j’fais d’la monnaie
Chérie baigne-toi dans mes sons
Putain j’te bire un dream en stéréo
Bitch, tu me sollicites pour qu’on te plébiscite
Autant demander un cunni à un aigle
Tu n’saisis pas mes punchlines ? Manque de culture
Le H sur ta hotline : haute-couture
Le savoir était notre arme, dans le futur
Le soir j’écoute du Kemso dans ma voiture
T’as rien inventé, j’viens t’éventrer
T’as fermé toutes les portes, j’suis rentré par la toiture
Hors-norme, mon inspi’ vient de Saturne
Donc fuck ta tune, car tu payeras en nature
J’suis noir comme ma musique, des coups j’en ai subis
L’arme est froide, bien qu’le fournisseur soit sudiste
Penses-tu pouvoir nous faire du mal ?
À nous, nous, nous, nous, nous, nous
Un jour on pleure, l’autre jour tu meurs
Chez nous, nous, nous, nous, nous
Quand l’ghetto chante c’est stylé
Car c’est nous, nous, nous, nous, nous
Tu n’pourras pas assumer
Car c’est nous, nous, nous, nous, nous
Tu connais mon équipe, histoire maléfique
Housse noire magnétique, soudain tu vivras faussement
Les somnifères endorment mais ne sauvent pas
Orné de faux frères pour ta dernière messe
T’as voulu nous bloquer
Peut-on éteindre les étoiles avec un sceau d’eau ?
La plupart dans la musique on autant de couilles
Qu’il y a de res-frè chez les nudistes
C’est quand je veux ça finit, Gotham chimique
J’suis seul contre six mille, sans sentiments
Tes dents sur l’ciment, et j’écrase mon talon sur ta nuque
La garde chahad, meurt mais ne se rend pas
La balle chiale, part mais ne te rate pas, enfoiré
Penses-tu pouvoir nous faire du mal ?
À nous, nous, nous, nous, nous, nous
Un jour on pleure, l’autre jour tu meurs
Chez nous, nous, nous, nous, nous
Quand l’ghetto chante c’est stylé
Car c’est nous, nous, nous, nous, nous
Tu n’pourras pas assumer
Car c’est nous, nous, nous, nous, nous
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