Letra de Jaune
Juste une nuit ou toute une vie
Malgré les rires jaunes, on survit
Dans les ruelles, on s'est perdu tant d'fois, aveuglés par nos peines et nos rancunes
Malgré les rires jaunes, on survit
Dans les ruelles, on s'est perdu tant d'fois, aveuglés par nos peines et nos rancunes
Pour que nos larmes sèchent sous le Soleil, on a dû revendre poussière de Lune
Chu-Chuki got the sauce, bitch
FNK du hood, toujours gang, dans mon esprit, faut qu'j'passe le balai
Aujourd'hui, j'passe dans les stories d'tout l'monde, hier, j'passais au palais
J'compte sur Dieu, ma famille, mon équipe et quelques albanais
Pour le fric, on a vendu la, qui leur éclate le palais
C'est triste mais souvent l'être humain arrête de penser par lui-même pour savoir ce que pense l'autre
Lunettes Christian Dior sous Belvédère ou sous Jack Daniel's, dans ma gestuelle, j'me prends pour Pop Smoke
Bref, tes faux rappeurs, tu peux les ramener
Si les chasseurs chassent sans chien de chasse, c'est sûrement qu'ils sont armés
Tout l'monde veut être en place mais personne ne veut la céder
Certains s'font remettre en place pour que d'autres puissent y accéder
Elle voudrait être ma shhh, demande à la concurrence, je pense qu'elle connaît d'jà la suite
C'que j'fais avec un BIC, c'est affolant, j'suis même pas encore arriver au stud' qu'ils ont d'jà pris la fuite
Très peu d'choses qui nous relient mais beaucoup qui nous séparent
Le ghetto a trop d'choses à dire mais t'sais pas commencer par quoi
Ici, la barre est haute, la rue nous prend de haut donc si j'suis pas à la hauteur, un jour, c'est sûr qu'elle m'dira : "barre-toi"
Il fallait que j'le vive, il fallait que j'le dise et pour savoir qui prendra mes patins, il fallait que je glisse
Quand j'vois tout c'qu'on a fait, j'ai l'sentiment qu'je suis refais, même si réalité reprend l'dessus quand j'vois mon reflet
Dans les ruelles, pour le cash, même si sans le vouloir, souvent c'est mon cœur que j'ai pris en otage
Dehors, c'est le fuego, alors au quartier, on traîne, on voulait faire bande à part, les keufs nous ont classé "bande urbaine"
La journée, j'réalise mes rêves sinon l'soir, je dors mal, c'qui leur semble inimaginable me paraît normal
J'aime la rue mais c'est sûrement c'qui la rend si belle
Elle va me rendre bête, elle et moi, ça marche pas donc j'pense qu'on court à notre perte
Juste une nuit ou toute une vie (oh, oh, oh, oh)
Malgré les rires jaunes, on survit (oui)
Dans les ruelles, on s'est perdu tant d'fois, aveuglés par nos peines et nos rancunes (oh non)
Pour que nos larmes sèchent sous le Soleil, on a dû revendre poussière de Lune
Juste une nuit ou toute une vie (une nuit ou toute une vie)
Malgré les rires jaunes, on survit
Dans les ruelles, on s'est perdu tant d'fois, aveuglés par nos peines et nos rancunes (oh non)
Pour que nos larmes sèchent sous le Soleil, on a dû revendre poussière de Lune (Lune)
Chu-Chuki got the sauce, bitch
FNK du hood, toujours gang, dans mon esprit, faut qu'j'passe le balai
Aujourd'hui, j'passe dans les stories d'tout l'monde, hier, j'passais au palais
J'compte sur Dieu, ma famille, mon équipe et quelques albanais
Pour le fric, on a vendu la, qui leur éclate le palais
C'est triste mais souvent l'être humain arrête de penser par lui-même pour savoir ce que pense l'autre
Lunettes Christian Dior sous Belvédère ou sous Jack Daniel's, dans ma gestuelle, j'me prends pour Pop Smoke
Bref, tes faux rappeurs, tu peux les ramener
Si les chasseurs chassent sans chien de chasse, c'est sûrement qu'ils sont armés
Tout l'monde veut être en place mais personne ne veut la céder
Certains s'font remettre en place pour que d'autres puissent y accéder
Elle voudrait être ma shhh, demande à la concurrence, je pense qu'elle connaît d'jà la suite
C'que j'fais avec un BIC, c'est affolant, j'suis même pas encore arriver au stud' qu'ils ont d'jà pris la fuite
Très peu d'choses qui nous relient mais beaucoup qui nous séparent
Le ghetto a trop d'choses à dire mais t'sais pas commencer par quoi
Ici, la barre est haute, la rue nous prend de haut donc si j'suis pas à la hauteur, un jour, c'est sûr qu'elle m'dira : "barre-toi"
Il fallait que j'le vive, il fallait que j'le dise et pour savoir qui prendra mes patins, il fallait que je glisse
Quand j'vois tout c'qu'on a fait, j'ai l'sentiment qu'je suis refais, même si réalité reprend l'dessus quand j'vois mon reflet
Dans les ruelles, pour le cash, même si sans le vouloir, souvent c'est mon cœur que j'ai pris en otage
Dehors, c'est le fuego, alors au quartier, on traîne, on voulait faire bande à part, les keufs nous ont classé "bande urbaine"
La journée, j'réalise mes rêves sinon l'soir, je dors mal, c'qui leur semble inimaginable me paraît normal
J'aime la rue mais c'est sûrement c'qui la rend si belle
Elle va me rendre bête, elle et moi, ça marche pas donc j'pense qu'on court à notre perte
Juste une nuit ou toute une vie (oh, oh, oh, oh)
Malgré les rires jaunes, on survit (oui)
Dans les ruelles, on s'est perdu tant d'fois, aveuglés par nos peines et nos rancunes (oh non)
Pour que nos larmes sèchent sous le Soleil, on a dû revendre poussière de Lune
Juste une nuit ou toute une vie (une nuit ou toute une vie)
Malgré les rires jaunes, on survit
Dans les ruelles, on s'est perdu tant d'fois, aveuglés par nos peines et nos rancunes (oh non)
Pour que nos larmes sèchent sous le Soleil, on a dû revendre poussière de Lune (Lune)