Letra de Souvenir
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J'aime ta peau dorée
Toi qui me donnait tout de ta main délivrée
J'aimais la peau dorée
Toi qui me donnait tout de ta main délivrée
J'aimais la peau dorée
Mais maintenant je pleure ton nom
Et maintenant je pleure ton nom
Un oiseau chante je ne sais où
C'est, je crois, ton âme qui veille
Les mois ont passé, les saisons
Mais moi je suis resté le même
Qui aime, qui attend que vienne le printemps
Qui aime, qui attend de reconnaître un jour le printemps
Nous ne nous reverrons plus, sur Terre
Ni le poème, le passé passe plus vite qu'on pense
À genoux j'implore le ciel et mer
Et ce brin de bruyère
Un souvenir pour récompense
Quel est cet endroit où dans l'ombre confuse
Les démons et les anges se mélangent ?
Ah je te rejoins dans cette brume épaisse
Que le tabac, le bon joint, s'obscurcissent
Alors je pleure ton nom
Oui je pleure ton nom
Un oiseau chante je ne sais où
C'est, je crois, ton âme qui veille
Les mois, comme toujours ont passé, les saisons
Mais moi je suis resté le même
Qui attend que revienne le printemps
Qui aime, qui espère, comme être à la fin de l'hiver
Nous ne nous reverrons plus, sur Terre
Ni le poème, le passé passe plus vite qu'on pense
À genoux j'implore le ciel et mer
Et ce brin de bruyère
Un souvenir pour récompense
Comme Apollinaire
Un souvenir pour récompense
Nous regagnerons la confiance
Nous regagnerons la confiance
Comme une terre ferme
Comme une terre ferme
À jamais
Nous regagnerons la confiance
Nous regagnerons la confiance
Comme une terre ferme
Comme une terre ferme
À jamais
De l'autre côté
De l'autre côté de la mer
À jamais
Il me reste plus rien de toi
Tu sais, ton absence m'appartient
On s'est laissé à l'aurée de ce bois
C'est un joli jardin je crois
C'est un joli jardin je crois
C'est un joli jardin que
Ou l'on s'est laissé
Nous ne nous verrons plus
Et maintenant je pleure ton nom
Un oiseau chante je ne sais où
C'est, je crois, ton âme qui veille
Les mois ont passé, les saisons
Mais moi je suis resté le même
Qui aime, qui attend que vienne le printemps
Qui aime, qui attend de reconnaître un jour le printemps
Nous ne nous reverrons plus, sur Terre
Ni le poème, le passé passe plus vite qu'on pense
À genoux j'implore le ciel et mer
Et ce brin de bruyère
Un souvenir pour récompense
Quel est cet endroit où dans l'ombre confuse
Les démons et les anges se mélangent ?
Ah je te rejoins dans cette brume épaisse
Que le tabac, le bon joint, s'obscurcissent
Alors je pleure ton nom
Oui je pleure ton nom
Un oiseau chante je ne sais où
C'est, je crois, ton âme qui veille
Les mois, comme toujours ont passé, les saisons
Mais moi je suis resté le même
Qui attend que revienne le printemps
Qui aime, qui espère, comme être à la fin de l'hiver
Nous ne nous reverrons plus, sur Terre
Ni le poème, le passé passe plus vite qu'on pense
À genoux j'implore le ciel et mer
Et ce brin de bruyère
Un souvenir pour récompense
Comme Apollinaire
Un souvenir pour récompense
Nous regagnerons la confiance
Nous regagnerons la confiance
Comme une terre ferme
Comme une terre ferme
À jamais
Nous regagnerons la confiance
Nous regagnerons la confiance
Comme une terre ferme
Comme une terre ferme
À jamais
De l'autre côté
De l'autre côté de la mer
À jamais
Il me reste plus rien de toi
Tu sais, ton absence m'appartient
On s'est laissé à l'aurée de ce bois
C'est un joli jardin je crois
C'est un joli jardin je crois
C'est un joli jardin que
Ou l'on s'est laissé
Nous ne nous verrons plus
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