Letra de La Malinche
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Madame je jalouse
Ce vent qui vous caresse
Prestement la joue
Des provinces andalouses
Et panaméricaines
Ce vent suave est si doux
Madame je jalouse
Madame je jalouse
Ce vent qui vous caresse la joue !
En ces provinces andalouses
Lui vient se poser contre votre peau d'acajou (x2)
Quand je reste à Paname...
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Oh oui
A chaque missive l'avouerais-je (x2)
Je crains de vous causer l'ennui
Et cette attente comme un missile
Endolorit ma tête grège (x2)
Que deux fois passe le jour (x2)
Et vienne la nuit
Passe le jour
Et vienne la nuit !
Ouais, vienne la nuit
Que tu me reviennes toi sur l'autre rive !
Es-tu avec un autre ?
Les choses nous échappent
Pourquoi les retenir
Par le bout de l'écharpe ?
Si vite devenir
Étranges, étrangers l'un à l'autre
Au cou le souvenir étrangle...
Et je reste à Paname
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Native des contrées
Où Cortés est venu
Trouver haine et fortune
Tu sais de mémoire ancienne
Te méfier des braves
de leur soif inopportune !
Combien de lâches sont venus ici
Courir chimères à coup de fusils ?
Ivres de gloire ont-ils pensé que ton coeur
Serait conquis percé de flèches et de rancoeur
Comme tes côtes mexicaines !
De Malinche, de Malinche
Il n'y en aura qu'une
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Oh oui
(Merci à Bruno pour cettes paroles)
Ce vent qui vous caresse
Prestement la joue
Des provinces andalouses
Et panaméricaines
Ce vent suave est si doux
Madame je jalouse
Madame je jalouse
Ce vent qui vous caresse la joue !
En ces provinces andalouses
Lui vient se poser contre votre peau d'acajou (x2)
Quand je reste à Paname...
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Oh oui
A chaque missive l'avouerais-je (x2)
Je crains de vous causer l'ennui
Et cette attente comme un missile
Endolorit ma tête grège (x2)
Que deux fois passe le jour (x2)
Et vienne la nuit
Passe le jour
Et vienne la nuit !
Ouais, vienne la nuit
Que tu me reviennes toi sur l'autre rive !
Es-tu avec un autre ?
Les choses nous échappent
Pourquoi les retenir
Par le bout de l'écharpe ?
Si vite devenir
Étranges, étrangers l'un à l'autre
Au cou le souvenir étrangle...
Et je reste à Paname
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Native des contrées
Où Cortés est venu
Trouver haine et fortune
Tu sais de mémoire ancienne
Te méfier des braves
de leur soif inopportune !
Combien de lâches sont venus ici
Courir chimères à coup de fusils ?
Ivres de gloire ont-ils pensé que ton coeur
Serait conquis percé de flèches et de rancoeur
Comme tes côtes mexicaines !
De Malinche, de Malinche
Il n'y en aura qu'une
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Oh oui
Oh oui
(Merci à Bruno pour cettes paroles)
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