Letra de Désobéir
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-Bonjour
-Bonjour
-Vous êtes le papa de Milo ?
-Bonjour
-Vous êtes le papa de Milo ?
-Ouais, j’espère qu'il a pas été sage aujourd'hui
-J'comprends pas, pourquoi vous dites ca ?
-Bin j'sais pas parce qu'il faut un p'tit peu savoir désobéir, réinterroger le cadre c'est une forme d'intelligence non ?
J'regard désobéir l'orage aux statistiques du prévaloir
Et j'lui souris comme Horace avec une incisive noire
Souffle l'enfant du parc de mon sur-moi, je trouve pas que ce soit dommage
Que les coups de foudres n'existe qu'aux urgences
Les soirs d'orages au service des grands brûlés
Désobéir n'est pas juste un verbe quand t'observe ma peau embrumée
De ces figures de Lichtenberg
Désobéir aux exactions des salazistes de Lisbonne
J'suis protégé par le dragon, le griffon, le phénix et la licorne
Les grands esprits ne se rencontrent pas
Les grands esprits sont solitaires
J'viens de ces latitudes qui ne comptent pas
Où on est toujours seul sur terre
Les graines du mal dans mon sachet
S'y enfoncent et puis germent
Les ténèbres ne m'ont pas caché
Mais forment mon unique épiderme
Ils viendront me pendre à l'arbre
Pendant que je serais en balade
La place du bien est en prison
Dans un système qui rend malade
Ils font passé des gens affables, pour des mafieux de Calabre
Car une hirondelle Twitter peut faire le printemps arabe
Moi j'ai l'aube et peine à me débarrasser d'celle que j'aimais le soir
Quand j'arrachais la haie d’aubépine
Pour embrasser mademoiselle Swann
Je me baigne loin dans la nuit
Et je n'agrippe plus le rivage
Si l'esprit est un grand navire
Mon Titanic a prit le large
Je reviendrais plus mon amour
Vas voir le fils de chienne en face
Je reviendrais plus mon ami
Comme la varicelle et l'enfance
Berger, garde ton troupeau perdu de mouton qui ne savent plus bêler
Moi mes idéaux perdus rodent la nuit en voiture bélier
J'préfère mourir demain que de vivre vieux une vie sage
Prends des méandres au creux des mains et souffle moi dans le visage
N'oublies jamais de jamais m'aimer et de désobéir aux trucs trop barges
Surtout si c'est moi qui les ai dit, nos nuit de chevauchées sauvages
Ils viendront me pendre à l'arbre
Pendant que je serais en balade
La place du bien est en prison
Dans un système qui rend malade
Ils font passé des gens affables, pour des mafieux de Calabre
Car une hirondelle Twitter peut faire le printemps arabe
-J'comprends pas, pourquoi vous dites ca ?
-Bin j'sais pas parce qu'il faut un p'tit peu savoir désobéir, réinterroger le cadre c'est une forme d'intelligence non ?
J'regard désobéir l'orage aux statistiques du prévaloir
Et j'lui souris comme Horace avec une incisive noire
Souffle l'enfant du parc de mon sur-moi, je trouve pas que ce soit dommage
Que les coups de foudres n'existe qu'aux urgences
Les soirs d'orages au service des grands brûlés
Désobéir n'est pas juste un verbe quand t'observe ma peau embrumée
De ces figures de Lichtenberg
Désobéir aux exactions des salazistes de Lisbonne
J'suis protégé par le dragon, le griffon, le phénix et la licorne
Les grands esprits ne se rencontrent pas
Les grands esprits sont solitaires
J'viens de ces latitudes qui ne comptent pas
Où on est toujours seul sur terre
Les graines du mal dans mon sachet
S'y enfoncent et puis germent
Les ténèbres ne m'ont pas caché
Mais forment mon unique épiderme
Ils viendront me pendre à l'arbre
Pendant que je serais en balade
La place du bien est en prison
Dans un système qui rend malade
Ils font passé des gens affables, pour des mafieux de Calabre
Car une hirondelle Twitter peut faire le printemps arabe
Moi j'ai l'aube et peine à me débarrasser d'celle que j'aimais le soir
Quand j'arrachais la haie d’aubépine
Pour embrasser mademoiselle Swann
Je me baigne loin dans la nuit
Et je n'agrippe plus le rivage
Si l'esprit est un grand navire
Mon Titanic a prit le large
Je reviendrais plus mon amour
Vas voir le fils de chienne en face
Je reviendrais plus mon ami
Comme la varicelle et l'enfance
Berger, garde ton troupeau perdu de mouton qui ne savent plus bêler
Moi mes idéaux perdus rodent la nuit en voiture bélier
J'préfère mourir demain que de vivre vieux une vie sage
Prends des méandres au creux des mains et souffle moi dans le visage
N'oublies jamais de jamais m'aimer et de désobéir aux trucs trop barges
Surtout si c'est moi qui les ai dit, nos nuit de chevauchées sauvages
Ils viendront me pendre à l'arbre
Pendant que je serais en balade
La place du bien est en prison
Dans un système qui rend malade
Ils font passé des gens affables, pour des mafieux de Calabre
Car une hirondelle Twitter peut faire le printemps arabe
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