Letra de Rhapsode
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Rhapsode rhapsode que racontent tes odes
Qu'est ce que tu vantes l'exode des tiens
Rhapsode rhapsode t'écouter c'est commode
Qu'est ce que tu vantes l'exode des tiens
Rhapsode rhapsode t'écouter c'est commode
Quand tu changes de mode lydien
Manque rien ni le vin ni le vent
Manque rien ni le temps
Manque rien ni le pain sur la planche
Manque rien ni la chance
Dans les hautes plaines d'Anatolie plaines de steppes
Vivait un homme nommé Abdel ZEYNIKI éléve d'Alep
C'était un vieux chanteur turc un chanteur aveugle
Bon poéte et joueur de luth plume d'aigle comme ongle
Il chantait ce qu'il ne voyait pas la faune et la flore
De la vie des hommes et de leur trépas maudite soit l'aumône
Pour qu'il chante fallait une belle veillée digne d'ancêtres
S'il chantait c'était pour parjurer le mauvais sort fait aux êtres
Dans une haute ferme d'Anatolie fume une chambre
Dans laquelle chante Abdel ZEYNIKI quittant son ombre
Il pouvait psalmodier jusqu'à l'aube lorgnant l'aurore
Son soleil et sa lumiére chaude venant du dehors
Il tâtait comme ça en avançant une canne comme épée
Quand soudain il sent le corps brûlant d'un oiseau à ses pieds
De ses deux mains il l'enveloppa le portant à ses lévres
Il lui chante un poéme kizil bach plus beau que l'or des orfévres
Dans les hautes coutumes d'Anatolie il y a celui de l'accueil
On ne laisse un oiseau ni gir ni gémir esseulé sur son seuil
Et le geste d'Abdel ZEYNIKI est celui d'un enfant
Qui va faire de son âme si petit un amour bien plus grand
Et l'oiseau ne pouvant plus voler était bien à l'écoute
Du rhapsode à la voix voilée par la poussiére de la route
C'est en écoutant tout le temps restant que ses ailes ont poussés
Et qu'Abdel bien moins aveugle qu'avant à fini par migrer
Manque rien ni le vin ni le vent
Manque rien ni le temps
Manque rien ni le pain sur la planche
Manque rien ni la chance
Dans les hautes plaines d'Anatolie plaines de steppes
Vivait un homme nommé Abdel ZEYNIKI éléve d'Alep
C'était un vieux chanteur turc un chanteur aveugle
Bon poéte et joueur de luth plume d'aigle comme ongle
Il chantait ce qu'il ne voyait pas la faune et la flore
De la vie des hommes et de leur trépas maudite soit l'aumône
Pour qu'il chante fallait une belle veillée digne d'ancêtres
S'il chantait c'était pour parjurer le mauvais sort fait aux êtres
Dans une haute ferme d'Anatolie fume une chambre
Dans laquelle chante Abdel ZEYNIKI quittant son ombre
Il pouvait psalmodier jusqu'à l'aube lorgnant l'aurore
Son soleil et sa lumiére chaude venant du dehors
Il tâtait comme ça en avançant une canne comme épée
Quand soudain il sent le corps brûlant d'un oiseau à ses pieds
De ses deux mains il l'enveloppa le portant à ses lévres
Il lui chante un poéme kizil bach plus beau que l'or des orfévres
Dans les hautes coutumes d'Anatolie il y a celui de l'accueil
On ne laisse un oiseau ni gir ni gémir esseulé sur son seuil
Et le geste d'Abdel ZEYNIKI est celui d'un enfant
Qui va faire de son âme si petit un amour bien plus grand
Et l'oiseau ne pouvant plus voler était bien à l'écoute
Du rhapsode à la voix voilée par la poussiére de la route
C'est en écoutant tout le temps restant que ses ailes ont poussés
Et qu'Abdel bien moins aveugle qu'avant à fini par migrer
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