Letra de Fryzoschénie
Je n'entends plus ma voix qui chante Je n'entends que la nuit J'attends en épouvante fryzoschénie Visage opale, visage frappé Par un éclat sous-exposé Dans cette fêlure éclafêlée, un autre moi est né C'est doux parterre, mes genoux Dans l'herbe bleue rougissent J'ai atterri dans la lumière de l'ombre De l'ombre de l'arbre C'est éternel, cette multitude D'images de rien, qu'un interlude Aussitôt né déjà mourant, l'instant d'un moment Des moments font des secondes Des minutes, des heures, cependant Quelques siècles me séparent de mon âme frère J'ai pas de corps pour m'abriter Pas de façade pour me cacher Dans cette fêlure éclafêlée, un autre moi est né C'est éternel, cette multitude D'images de rien, qu'un interlude Aussitôt né déjà mourant, l'instant d'un moment Cheveux de feu, un corps aime Sur les chevilles de fumée. Dans cette fêlure éclafêlée, un autre moi est né Dans cette fêlure éclafêlée, un autre moi péri