Letra de Marley
Letra powered by LyricFind
Je suis né dans une famille modeste,
l'injustice et la guerre sont des choses que je déteste.
J'ai grandis dans les champs à répéter les mêmes gestes pour gagner un peu d'argent car la misère m'est indigeste.
l'injustice et la guerre sont des choses que je déteste.
J'ai grandis dans les champs à répéter les mêmes gestes pour gagner un peu d'argent car la misère m'est indigeste.
J'n'ai pas connu mon père,
il était capitaine,
il venait d'Angleterre, cette terre n'est pas la mienne.
Mais ma passion n'est pas là,
bientôt je pars de chez moi,
j'embrasse tendrement ma mère qui a tant fait pour moi.
Où je vais je ne sais pas,
mais Dieu guide mes pas,
et je me sens quelque part être quelqu'un à part.
Tellement de sentiments,
se bousculent dans mon coeur,
qui palpite et grandit en écrasant la peur.
La vie me fait mal, je crains pour mes frères et soeurs,
je voudrais le bien mais le mal fait son beurre.
Moi,
je veux jouer de la voix, et devenir chanteur,
générer de la joie avant que l'espoir ne meurt.
J'ai 16 ans,
je bosse,
j'avance avec bravoure, avec des potes je sors mon premier 45 tours.
Que la force soit avec moi,
le chemin sans détours,
le peuple m'entendra, en tout cas je f'rais tout pour.
J'ai grandit dans mon ghetto modeste,
mon prénom c'est Nesta et personne ne me teste.
Je crois dans la musique, à l'importance des textes,
je m'attaque dans mes chansons aux travers que je détectent.
Je n'aime pas la disco, je la fuit comme la peste,
mon son c'est le roots que je balance même à la messe.
Quelques galères,
mais les morceaux s'enchaînent,
dans mon pays les producteurs véreux se déchaînent.
C'est les miettes que j'ramasse,
même si ça m'fait d'la peine.
Je gagne pas des masses mais qu'est c'que j'donne de moi même.
Sinon j'adore le football, depuis petit j'suis fou d'balles,
j'aime frapper dans la boule pleine d'ball,
et je la traîne où qu'j'aille.
La weed me fait du bien,
et même elle me soulage,
elle m'aide à oublier que des chiens nous mettent en cage.
Me voilà tel que je suis, tel que je compte percer,
les échecs je les essuis, la légende est amorcée.
J'ai 30 ans, mes chansons résonnent,
le monde connait mon nom et les chiens m'ont à la bonne.
Mais foutez-moi la paix, je travaille à l'album,
je suis un homme puissant maintenant appelez moi Bob.
Je suis une star, mais je reste modeste,
je ne suis pas du style à retourner ma veste.
Enfant du peuple, je suis né je le reste,
je n'ai jamais subis l'influence des terres de l'Ouest.
J'aime les femmes qui m'accompagnent, inspirent mon écriture,
j'accorde la douceur des mots avec la force des écritures.
Je porte de gros chapeaux, j'aime la weed quand elle est pure,
je n'abuse pas de l'argent juste quelques belles voitures.
En concert c'est incroyable comme les foules se déchaînent,
des dates inoubliables et des tournées qui s'enchaînent.
Partout où je passe se créer des marrées humaines,
mon message n'est pas secret, chaque jour je le promène.
J'ai enfin trouvé mon père, il vit en Ethiopie,
j'ai aussi trouvé ma terre, celle qui a vu naître la vie.
Les yeux posés sur le monde, je tisse ma philosophie,
plus jamais personne au monde l'ayant lu ne l'oublie, malheureusement...
Le contexte politique est tendu, à l'approche des élections les jeunes se tirent dessus dans la rue.
Je sais que tous mes frères s'entre-tuent, ça m'écoeure, tout ce sang, pour deux hommes corrompus.
Et viens mon tour, lorsque ces fous pénètrent dans ma cour en plein jour,
et tapent sur leur gachette comme des sourds,
Marley assassiné par deux dingues et un fêlé, non ça, c'est du ciné remet ton flingue sous célé.
Le concert s'ra maint'nu et le combat continu, puisque la balle n'a pas ôté l'espoir de ma vue,
j'ai encore des choses à dire, encore des choses à faire,
c'est pas l'heure de mourir, c'est pas non plus la manière.
Il y a des gens qui comptent sur moi,
et moi je compte sur les gens,
sur les gens intelligents, ce sont les plus dérangeants,
c'est avec eux, soudés et solides comme la soudure,
que jusqu'au dernier soupir on contrera les coups durs.
Un jour je partirais mais mon travail restera,
natural mystic, mec, y a des choses qu'on explique pas.
Pourquoi moi?
J'ai senti le besoin d'faire ça, pourquoi, cette attraction?
Pourquoi j'ai pesé ce poid?
Mais voilà un matin le destin fait le malin,
me prend par surprise et m'injecte son venin,
mal au pied je suis crevé, mais les tourneurs veulent tourner, on y va,
si je dois mourir je veux chanter.
Déjà 36 ans, que j'ai débarqué sur cette terre,
1981 marque la fin de mon ère.
Aujourd'hui, j'aurais 60 ans et des poussières...
Mais bon, j'ai réussi et j'en suis fier.
il était capitaine,
il venait d'Angleterre, cette terre n'est pas la mienne.
Mais ma passion n'est pas là,
bientôt je pars de chez moi,
j'embrasse tendrement ma mère qui a tant fait pour moi.
Où je vais je ne sais pas,
mais Dieu guide mes pas,
et je me sens quelque part être quelqu'un à part.
Tellement de sentiments,
se bousculent dans mon coeur,
qui palpite et grandit en écrasant la peur.
La vie me fait mal, je crains pour mes frères et soeurs,
je voudrais le bien mais le mal fait son beurre.
Moi,
je veux jouer de la voix, et devenir chanteur,
générer de la joie avant que l'espoir ne meurt.
J'ai 16 ans,
je bosse,
j'avance avec bravoure, avec des potes je sors mon premier 45 tours.
Que la force soit avec moi,
le chemin sans détours,
le peuple m'entendra, en tout cas je f'rais tout pour.
J'ai grandit dans mon ghetto modeste,
mon prénom c'est Nesta et personne ne me teste.
Je crois dans la musique, à l'importance des textes,
je m'attaque dans mes chansons aux travers que je détectent.
Je n'aime pas la disco, je la fuit comme la peste,
mon son c'est le roots que je balance même à la messe.
Quelques galères,
mais les morceaux s'enchaînent,
dans mon pays les producteurs véreux se déchaînent.
C'est les miettes que j'ramasse,
même si ça m'fait d'la peine.
Je gagne pas des masses mais qu'est c'que j'donne de moi même.
Sinon j'adore le football, depuis petit j'suis fou d'balles,
j'aime frapper dans la boule pleine d'ball,
et je la traîne où qu'j'aille.
La weed me fait du bien,
et même elle me soulage,
elle m'aide à oublier que des chiens nous mettent en cage.
Me voilà tel que je suis, tel que je compte percer,
les échecs je les essuis, la légende est amorcée.
J'ai 30 ans, mes chansons résonnent,
le monde connait mon nom et les chiens m'ont à la bonne.
Mais foutez-moi la paix, je travaille à l'album,
je suis un homme puissant maintenant appelez moi Bob.
Je suis une star, mais je reste modeste,
je ne suis pas du style à retourner ma veste.
Enfant du peuple, je suis né je le reste,
je n'ai jamais subis l'influence des terres de l'Ouest.
J'aime les femmes qui m'accompagnent, inspirent mon écriture,
j'accorde la douceur des mots avec la force des écritures.
Je porte de gros chapeaux, j'aime la weed quand elle est pure,
je n'abuse pas de l'argent juste quelques belles voitures.
En concert c'est incroyable comme les foules se déchaînent,
des dates inoubliables et des tournées qui s'enchaînent.
Partout où je passe se créer des marrées humaines,
mon message n'est pas secret, chaque jour je le promène.
J'ai enfin trouvé mon père, il vit en Ethiopie,
j'ai aussi trouvé ma terre, celle qui a vu naître la vie.
Les yeux posés sur le monde, je tisse ma philosophie,
plus jamais personne au monde l'ayant lu ne l'oublie, malheureusement...
Le contexte politique est tendu, à l'approche des élections les jeunes se tirent dessus dans la rue.
Je sais que tous mes frères s'entre-tuent, ça m'écoeure, tout ce sang, pour deux hommes corrompus.
Et viens mon tour, lorsque ces fous pénètrent dans ma cour en plein jour,
et tapent sur leur gachette comme des sourds,
Marley assassiné par deux dingues et un fêlé, non ça, c'est du ciné remet ton flingue sous célé.
Le concert s'ra maint'nu et le combat continu, puisque la balle n'a pas ôté l'espoir de ma vue,
j'ai encore des choses à dire, encore des choses à faire,
c'est pas l'heure de mourir, c'est pas non plus la manière.
Il y a des gens qui comptent sur moi,
et moi je compte sur les gens,
sur les gens intelligents, ce sont les plus dérangeants,
c'est avec eux, soudés et solides comme la soudure,
que jusqu'au dernier soupir on contrera les coups durs.
Un jour je partirais mais mon travail restera,
natural mystic, mec, y a des choses qu'on explique pas.
Pourquoi moi?
J'ai senti le besoin d'faire ça, pourquoi, cette attraction?
Pourquoi j'ai pesé ce poid?
Mais voilà un matin le destin fait le malin,
me prend par surprise et m'injecte son venin,
mal au pied je suis crevé, mais les tourneurs veulent tourner, on y va,
si je dois mourir je veux chanter.
Déjà 36 ans, que j'ai débarqué sur cette terre,
1981 marque la fin de mon ère.
Aujourd'hui, j'aurais 60 ans et des poussières...
Mais bon, j'ai réussi et j'en suis fier.
Letra powered by LyricFind