Letra de Boléro
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Je vous propose ici les paroles de cette chanson que damien a intitulé lui-même "elle était profonde" le 30/03 à marseille :
pour écrire ces paroles j'ai écouté deux versions : tout d'abord celle de marseille du 30/03 puis celle d'amiens du 19/03.
je suis donc parti sur la base de la version de marseille.
pour écrire ces paroles j'ai écouté deux versions : tout d'abord celle de marseille du 30/03 puis celle d'amiens du 19/03.
je suis donc parti sur la base de la version de marseille.
les mots en gras et entre parenthèses sont ceux prononcés dans la version d'amiens.
une seule parole reste pour toutes les versions assez floue :
"elle est belle la vie que quand elle est profonde !"
on a vraiment du mal à identifer le début.
et peut-être un doute sur le mot qui termine celle-ci :
"doigt levé vers le ciel, à pisser sur la mort (l’amour)"
pour l'histoire des poings qui se lèvent à la fin, c'est plus logique des poings qui se serrent surtout que le verbe lever est utilisé dans la parole qui suit avec les bras, la répétition serait mal venue.
quoiqu'il en soit, "ça n'y changera rien, un jour oui tout s'éteint !"
a+
elle était profonde
parait qu'elle est en ville celle dont on tait le nom,
celle qui a fait, ouais, ramper mon âme sur le goudron.
parait qu'elle danse le soir quand la nuit vient, mouillante,
aux marins dans les bars ouais qu'elle pleure comme elle chante.
non n'y retourne pas tu vas bouffer des clous,
elle mangera ton cœur et tu deviendras fou.
a ne garder d'honneur que l'acide des sanglots,
qui couleront sur tes joues, emportés par les flots.
eloigne-toi de moi toi qui parle trop bien,
et viens plutôt chercher le monde entre leurs reins,
et puis les dents serrées à lacérer les cœurs,
viens plutôt (pleurer) contre moi me faire voir ta douleur.
eloigne-toi de moi toi qui parle bien trop,
le dandy est puant à tous ceux qui m'entourent,
vampirisant tes larmes, couchées sur la banquette,
toujours le corps de ces femmes qui ont trop fait la fête.
ne crois pas la connaitre elle et ses grands sourires,
en amour, mon amour il faut être vampire.
comme un loup solitaire elle va dans la nuit noire,
et se nourrir de (mon) sang est bien son seul espoir.
puisque rien ne tarie la faim de la chair tendre,
tu le sais bien ici, ici tout est à vendre.
eloigne-la (toi) de moi avant que elle ne me bouffe à pleines dents,
ses (tes) seins sur l'étendard avant qu'ils ne m'étouffent.
on est là pour s'aimer, on est là pour se battre,
on est là pour saigner nos amours sur l'asphalte,
on est là pour sentir le bien qu'on fait aux autres,
pour mieux les voir pleurer quand la marée descend.
elle était sexuelle, elle était profonde.
putain qu'est-ce qu'elle est belle, putain quand elle s'inonde.
elle était un peu ronde, elle avait l'air féconde,
et t'aurais dû la voir comme un tonnerre qui gronde, oui.
allez tournez sanglots ! allez tournez les terres !
dans la folie ici, ouais dans les tortionnaires,
j’ai (c’est) des mélancolies à en creuser des tombes !
elle est belle la vie que quand elle est profonde !
il faudra rester fort, il faudra rester fort,
la tête reposée sur leurs seins à genoux;
sûr qu'on jouera les riches mais sans avoir le sou,
doigt levé vers le ciel, à pisser sur la mort (l’amour).
allez frappe mon cœur pour qu’il se batte encore,
avec le tien toujours, toujours jusqu’à la mort,
a croquer l’infini, allez mord dans ma chair,
de ces amours qui font l’amour et puis la guerre.
mon cœur ne bande plus que pour des insipides !
mes yeux ne pleurent plus que pour des terres arides !
mes poings ne se serrent (lèvent) plus que pour serrer l’enfer !
mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids, que le poids, que le poids de ta chair..!
il n’y a plus rien dedans, faut jeter à la casse, le vieux chien va mourir, ouais sans laisser la (sa) trace !
je n’ai peur de personne, je peux mourir demain !
allez vas-y plus fort, à faire pleurer mes reins !
allez vas-y plus fort…
(Merci à Bernadette Birchler pour cettes paroles)
une seule parole reste pour toutes les versions assez floue :
"elle est belle la vie que quand elle est profonde !"
on a vraiment du mal à identifer le début.
et peut-être un doute sur le mot qui termine celle-ci :
"doigt levé vers le ciel, à pisser sur la mort (l’amour)"
pour l'histoire des poings qui se lèvent à la fin, c'est plus logique des poings qui se serrent surtout que le verbe lever est utilisé dans la parole qui suit avec les bras, la répétition serait mal venue.
quoiqu'il en soit, "ça n'y changera rien, un jour oui tout s'éteint !"
a+
elle était profonde
parait qu'elle est en ville celle dont on tait le nom,
celle qui a fait, ouais, ramper mon âme sur le goudron.
parait qu'elle danse le soir quand la nuit vient, mouillante,
aux marins dans les bars ouais qu'elle pleure comme elle chante.
non n'y retourne pas tu vas bouffer des clous,
elle mangera ton cœur et tu deviendras fou.
a ne garder d'honneur que l'acide des sanglots,
qui couleront sur tes joues, emportés par les flots.
eloigne-toi de moi toi qui parle trop bien,
et viens plutôt chercher le monde entre leurs reins,
et puis les dents serrées à lacérer les cœurs,
viens plutôt (pleurer) contre moi me faire voir ta douleur.
eloigne-toi de moi toi qui parle bien trop,
le dandy est puant à tous ceux qui m'entourent,
vampirisant tes larmes, couchées sur la banquette,
toujours le corps de ces femmes qui ont trop fait la fête.
ne crois pas la connaitre elle et ses grands sourires,
en amour, mon amour il faut être vampire.
comme un loup solitaire elle va dans la nuit noire,
et se nourrir de (mon) sang est bien son seul espoir.
puisque rien ne tarie la faim de la chair tendre,
tu le sais bien ici, ici tout est à vendre.
eloigne-la (toi) de moi avant que elle ne me bouffe à pleines dents,
ses (tes) seins sur l'étendard avant qu'ils ne m'étouffent.
on est là pour s'aimer, on est là pour se battre,
on est là pour saigner nos amours sur l'asphalte,
on est là pour sentir le bien qu'on fait aux autres,
pour mieux les voir pleurer quand la marée descend.
elle était sexuelle, elle était profonde.
putain qu'est-ce qu'elle est belle, putain quand elle s'inonde.
elle était un peu ronde, elle avait l'air féconde,
et t'aurais dû la voir comme un tonnerre qui gronde, oui.
allez tournez sanglots ! allez tournez les terres !
dans la folie ici, ouais dans les tortionnaires,
j’ai (c’est) des mélancolies à en creuser des tombes !
elle est belle la vie que quand elle est profonde !
il faudra rester fort, il faudra rester fort,
la tête reposée sur leurs seins à genoux;
sûr qu'on jouera les riches mais sans avoir le sou,
doigt levé vers le ciel, à pisser sur la mort (l’amour).
allez frappe mon cœur pour qu’il se batte encore,
avec le tien toujours, toujours jusqu’à la mort,
a croquer l’infini, allez mord dans ma chair,
de ces amours qui font l’amour et puis la guerre.
mon cœur ne bande plus que pour des insipides !
mes yeux ne pleurent plus que pour des terres arides !
mes poings ne se serrent (lèvent) plus que pour serrer l’enfer !
mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids, que le poids, que le poids de ta chair..!
il n’y a plus rien dedans, faut jeter à la casse, le vieux chien va mourir, ouais sans laisser la (sa) trace !
je n’ai peur de personne, je peux mourir demain !
allez vas-y plus fort, à faire pleurer mes reins !
allez vas-y plus fort…
(Merci à Bernadette Birchler pour cettes paroles)
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