Letra de Revolving
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Le jour se lève à peine sur ma planète Sous France
Rien de neuf aux nouvelles, ici tout baigne dans un bain d'sang
Y'a ceux qui se sentent mal aimé, ceux qui aiment ce mal qui les enfantes
Rien de neuf aux nouvelles, ici tout baigne dans un bain d'sang
Y'a ceux qui se sentent mal aimé, ceux qui aiment ce mal qui les enfantes
J'voulais te dessiner un sourire, je n'ai su écrire que le mot Sous France
Quelques lettres à peine qui cachent une peine bien plus profonde
Celles des visages sans nom à la voix grave à cause des blondes
Qui n'auront de vues sur le monde que d'une télévision Revolving
Dans un paradis en location, d'un HLM seventies
Où le vice et la vertu de celui qui souhaite y faire affaire
Avec l’alcool, les drogues en guise de friandises pas chère
Les filières clandestines voient défiler des familles entières
Et tant pis si les gosses peuvent mourir, ça fera plus vite fleurir les cimetières
Rien à cirer d'leurs origines, d'leurs religions, etc...
On veut seulement qu'ils tapinent sans oublier d'payer la TVA
Quel luxe d'avoir vu sur la merde du haut d'ton balcon de té-ci
Arrête de parler de courses aux richesses, t'es pas foutu d'te lever avant midi
Entre ascenseur pissotière et seringues de toxico
Les préservatifs usagés, la gerbe de teenegers alcoolo
On parle comme des pseudo gangster sous nos grands airs de gigolos
On n'sait qu'ramener les keufs à nos mères, il est beau le cartel de Mexico
Et à part cramer les bagnoles d’autres ouvriers bien plus modeste
On se paye en carte à corps des signes extérieures de richesse
Si gamin on jouait les durs, adulte c'est sur on joue les cons
Tous ces sourires de contrefaçon cachent des passe-temps sans passion
Où nos seuls moments d'évasion s'arrêtent aux portes des bars-tabac
Pendant qu'on libéralise tes pensées, ils privatisent des emplois
Ils t'annonceront la retraite en même temps qu'un cancer généralisé
Je crois que plus on devient des hommes plus on perd notre humanité
Y'a qu'à regarder ce qu'on a fait de nos soi-disante révolutions
Des sous-produits marketing d'un mode de vie devenu obsession
C'est tout ce que nous sommes et tout ce que nous laisserons
Des égocentriques par orgueil, égo-centré, égo sans fonds
Même nos connasses de bonnes femmes finissent par s'tirer un beau jour
Quand elles comprennent qu'on peut s'payer enfin par CB de l'amour
Des bébés éprouvettes d'un millier d'géniteurs anonymes
De nouveaux nichons à cinquante berges pour faire comme les filles des magasines
Voilà pourquoi lion marche seul et qu'les moutons restent en troupeau
Est-ce logique que même entouré j'ai l'sentiment d'être solo
Il faudrait probablement faire quelques efforts d'intégration
On sait jamais, j'pourrais trouver l'amour au cœur d'ce viol en réunion
Les saisons passent, tout reste de glace devant leurs JT d'plus en plus noirs
A force d'être gaver comme des oies on va pouvoir faire du foie d'connards
L'hiver autour d'un manteau blanc, le corps des SDF qui en ont pas
La prochaine canicule fera le ménage aux réunions du troisième age
Et comme si ça n'suffisait pas, on s'cherche des couilles sur la toile
On s'fout à poil pour quelques j'aime, on s'fout en l'air pour moins qu'ça
Et merde j'crois bien que c'est dead, ils ont mis bas nos idéaux
Peut-être qu'leurs théorie du complot ce n'est rien d'autre qu'un autre complot
La vie a démarré par des larmes, s'terminera par celles de nos proches
Si notre histoire laisse des traces, ce sera surement sur la gorge
Pour s'faire du mal non t'inquiètes pas, y'a toujours eu de bons prétextes
J'écris mes textes sur des balles pour qu'ils me rentrent mieux dans la tête
Quelques lettres à peine qui cachent une peine bien plus profonde
Celles des visages sans nom à la voix grave à cause des blondes
Qui n'auront de vues sur le monde que d'une télévision Revolving
Dans un paradis en location, d'un HLM seventies
Où le vice et la vertu de celui qui souhaite y faire affaire
Avec l’alcool, les drogues en guise de friandises pas chère
Les filières clandestines voient défiler des familles entières
Et tant pis si les gosses peuvent mourir, ça fera plus vite fleurir les cimetières
Rien à cirer d'leurs origines, d'leurs religions, etc...
On veut seulement qu'ils tapinent sans oublier d'payer la TVA
Quel luxe d'avoir vu sur la merde du haut d'ton balcon de té-ci
Arrête de parler de courses aux richesses, t'es pas foutu d'te lever avant midi
Entre ascenseur pissotière et seringues de toxico
Les préservatifs usagés, la gerbe de teenegers alcoolo
On parle comme des pseudo gangster sous nos grands airs de gigolos
On n'sait qu'ramener les keufs à nos mères, il est beau le cartel de Mexico
Et à part cramer les bagnoles d’autres ouvriers bien plus modeste
On se paye en carte à corps des signes extérieures de richesse
Si gamin on jouait les durs, adulte c'est sur on joue les cons
Tous ces sourires de contrefaçon cachent des passe-temps sans passion
Où nos seuls moments d'évasion s'arrêtent aux portes des bars-tabac
Pendant qu'on libéralise tes pensées, ils privatisent des emplois
Ils t'annonceront la retraite en même temps qu'un cancer généralisé
Je crois que plus on devient des hommes plus on perd notre humanité
Y'a qu'à regarder ce qu'on a fait de nos soi-disante révolutions
Des sous-produits marketing d'un mode de vie devenu obsession
C'est tout ce que nous sommes et tout ce que nous laisserons
Des égocentriques par orgueil, égo-centré, égo sans fonds
Même nos connasses de bonnes femmes finissent par s'tirer un beau jour
Quand elles comprennent qu'on peut s'payer enfin par CB de l'amour
Des bébés éprouvettes d'un millier d'géniteurs anonymes
De nouveaux nichons à cinquante berges pour faire comme les filles des magasines
Voilà pourquoi lion marche seul et qu'les moutons restent en troupeau
Est-ce logique que même entouré j'ai l'sentiment d'être solo
Il faudrait probablement faire quelques efforts d'intégration
On sait jamais, j'pourrais trouver l'amour au cœur d'ce viol en réunion
Les saisons passent, tout reste de glace devant leurs JT d'plus en plus noirs
A force d'être gaver comme des oies on va pouvoir faire du foie d'connards
L'hiver autour d'un manteau blanc, le corps des SDF qui en ont pas
La prochaine canicule fera le ménage aux réunions du troisième age
Et comme si ça n'suffisait pas, on s'cherche des couilles sur la toile
On s'fout à poil pour quelques j'aime, on s'fout en l'air pour moins qu'ça
Et merde j'crois bien que c'est dead, ils ont mis bas nos idéaux
Peut-être qu'leurs théorie du complot ce n'est rien d'autre qu'un autre complot
La vie a démarré par des larmes, s'terminera par celles de nos proches
Si notre histoire laisse des traces, ce sera surement sur la gorge
Pour s'faire du mal non t'inquiètes pas, y'a toujours eu de bons prétextes
J'écris mes textes sur des balles pour qu'ils me rentrent mieux dans la tête
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