Letra de La Brise
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Pour noël j'ai reçu du ciel
un calinours poivre et sel.
Sa chaleur est une odeur
un calinours poivre et sel.
Sa chaleur est une odeur
d'matin tranquille, de toasts au beurre.
C'tait la playa dans l'édredon.
J'pense à ton sourire quand j'passe au coin d'Louis-Hémon.
J'aurais ben voulu t'tendre la main
mais j'pas du monde, compdrends-moé ben.
Y en a qui rient, d'autres restent assis.
J'rêve au bar, c'est moi l'plus fort.
J'fais d'la porno avec mon égo
pis j'cherche des mots dans courbe d'ton dos.
J'ai comme une allégeance
à la vodka-romance.
Parles-moé encore un peu,
m'faire à croire que les mots dansent.
Un étrange merveille,
l'amour da'un fond d'bouteille.
Y'a tu d'quoi à dire, tu d'quoi à faire?
Coach passes-moé une bière.
La saison est tellement lourde,
j'attends l'printemps les oreilles sourdes.
Frank y tire, Ben y pousse.
Les alcoholic blues.
J'traine dehors avec mon problème de bouze.
La musique sors du local
pis dans l'radio c'est 4-0 Montréal.
Aussi certain qu'le ciel est serein,
tout les mystères parfois prènent l'air;
disait un gars qui fumait une smoke
su'l bord d'un lampadaire.
Quand l'jour se lève c'comme un feu d'paille,
une brise te fige les entrailles.
Si tu veux m'faire virer d'bord
ben t'as besoin d'tirer fort.
Dans mon lit j'ai pas d'couvertes pis la tempête à descend du nord.
(Merci à MPMonty pour cettes paroles)
C'tait la playa dans l'édredon.
J'pense à ton sourire quand j'passe au coin d'Louis-Hémon.
J'aurais ben voulu t'tendre la main
mais j'pas du monde, compdrends-moé ben.
Y en a qui rient, d'autres restent assis.
J'rêve au bar, c'est moi l'plus fort.
J'fais d'la porno avec mon égo
pis j'cherche des mots dans courbe d'ton dos.
J'ai comme une allégeance
à la vodka-romance.
Parles-moé encore un peu,
m'faire à croire que les mots dansent.
Un étrange merveille,
l'amour da'un fond d'bouteille.
Y'a tu d'quoi à dire, tu d'quoi à faire?
Coach passes-moé une bière.
La saison est tellement lourde,
j'attends l'printemps les oreilles sourdes.
Frank y tire, Ben y pousse.
Les alcoholic blues.
J'traine dehors avec mon problème de bouze.
La musique sors du local
pis dans l'radio c'est 4-0 Montréal.
Aussi certain qu'le ciel est serein,
tout les mystères parfois prènent l'air;
disait un gars qui fumait une smoke
su'l bord d'un lampadaire.
Quand l'jour se lève c'comme un feu d'paille,
une brise te fige les entrailles.
Si tu veux m'faire virer d'bord
ben t'as besoin d'tirer fort.
Dans mon lit j'ai pas d'couvertes pis la tempête à descend du nord.
(Merci à MPMonty pour cettes paroles)
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