Letra de Par La Fenêtre
Letra powered by LyricFind
Quand la joie me fait la gueule,
Que je n'veux pas rentrer chez moi,
Je remonte en titubant la rue d'Courcelle pour allé dormir chez Lola.
Son corp au repos,
Moi qui ne jure que par l'hiver,
Alors je frappe comme un tarré à son carreau pour qu'elle remonte les stores en fer.
Elle me dit t'en fait qu'à ta tete et tu vis ta vis parfois,
Comme on ecrase une cigarette sans peur de se bruler les doigts,
Tu rentres toujours chez moi... par la fenetre !
Elle ouvre alors sans un regard,
Elle reponds à tout ce baroufle
En murmurant t'as encore ecumé les bars, tas encore emballé des poufs
T'es qu'un p'tit con,
Un p'tit con adorable certes,
Mais je sais que s'que tu donnes vaut pas un rond,
Que quand on t'aime, on t'aime à perte.
Elle me dit t'en fait qu'à ta tete et tu vis ta vie parfois,
Comme on ecrase une cigarette sans peur de se bruler les doigt,
Tu rentres toujours chez moi... par la fenetre !
Des que nos corps se recroquevillent,
Je lui dit qu'sa compte pour du beurre,
Elle me repond ho ferme la ho toi l'anguille je dois me lever dans deux heures.
Je peux bien me moquer,
De ses humeurs, de ses grands airs,
Il n'empeche elle n'a jamais rien demandé pourtant elle a toujours ouvert.
Elle me dit t'en fait qu'à ta tete et tu vis ta vie parfois,
Comme on ecrase une cigarette sans peur de se bruler les doigt,
Tu rentres toujours chez moi... par la fenetre !
(Merci à marine pour cettes paroles)
Que je n'veux pas rentrer chez moi,
Je remonte en titubant la rue d'Courcelle pour allé dormir chez Lola.
Son corp au repos,
Moi qui ne jure que par l'hiver,
Alors je frappe comme un tarré à son carreau pour qu'elle remonte les stores en fer.
Elle me dit t'en fait qu'à ta tete et tu vis ta vis parfois,
Comme on ecrase une cigarette sans peur de se bruler les doigts,
Tu rentres toujours chez moi... par la fenetre !
Elle ouvre alors sans un regard,
Elle reponds à tout ce baroufle
En murmurant t'as encore ecumé les bars, tas encore emballé des poufs
T'es qu'un p'tit con,
Un p'tit con adorable certes,
Mais je sais que s'que tu donnes vaut pas un rond,
Que quand on t'aime, on t'aime à perte.
Elle me dit t'en fait qu'à ta tete et tu vis ta vie parfois,
Comme on ecrase une cigarette sans peur de se bruler les doigt,
Tu rentres toujours chez moi... par la fenetre !
Des que nos corps se recroquevillent,
Je lui dit qu'sa compte pour du beurre,
Elle me repond ho ferme la ho toi l'anguille je dois me lever dans deux heures.
Je peux bien me moquer,
De ses humeurs, de ses grands airs,
Il n'empeche elle n'a jamais rien demandé pourtant elle a toujours ouvert.
Elle me dit t'en fait qu'à ta tete et tu vis ta vie parfois,
Comme on ecrase une cigarette sans peur de se bruler les doigt,
Tu rentres toujours chez moi... par la fenetre !
(Merci à marine pour cettes paroles)
Letra powered by LyricFind