Letra de 365
Beaucoup de bounia, barakat
3.6.5 jours en survêt
Chichon planqué dans chaussettes
3.6.5 jours en survêt
Chichon planqué dans chaussettes
Élucider le passé m’entête
M’aimer, je crois que c’est illégal
J’ai la rage d’un hooligan
Pas de pluriel dans Oligarque
Quand je perds, dis-moi qui gagne
Je sais que je passerai pas l’hiver
Donc je savoure l’été indien, politesse, à quoi ça sert ?
Quand au fond, ça va pas bien, la tête tourne dans le tourniquet
L’envie est de tout niquer, il y a pas de blеssure éphémère
J’ai du vider tout lе Dakin, j’enchaîne les clopes et goût amer
Y a plus r dans l’magasin, dernier câlin à nouvelle keh
J’baisse le rideau, ciao pantin, j’vis comme dans un mauvais polar
La télé reste allumé, je connais déjà la fin de l’histoire
La vida jouera en replay, corazón bat plus la mesure
Le bonheur est inodore, y a des taches sur la peinture
Les coups de shlass sont indolores, l’ambitieux n’a pas d’allié
Je compte mon khaliss dans le RS, mauvais œil est activé
Dans l’boomer, j’veux pas que le son cesse
Je baise cette tchoin d’un amour sincère quand j’tiens ses fesses silliconées
Sa pipe ne m’fait plus d’effet comme un zdeh de CBD
Les yeux rivés sur le satellite, astra pour me localiser
Bambin a froid en Afrique, la kichta pour le réchauffer
Verre de Pétrus à la main, poupées russes du soir au matin
Si j’ai perdu le sommeil, c’est que je ne rêve plus à rien
La nuit, j’caillasse des soleils depuis mon métro aérien
Si je mets ma vie en bouteille, peut-être que mes larmes l’emmèneront au loin
Nous vécûmes mésaventures, les baskets à l’envers
J’vais crever en sale ordure, je suivrai les pas de mon père
Je vais dans le mur à vive allure, j’reste sur l’manège malgré la gerbe
Les bosses sont grosses sa mère la pute, enfant perdu j’en connais qu’un
Enfant perdu j’en connais qu’un
Enfant perdu j’en connais qu’un
M’aimer, je crois que c’est illégal
J’ai la rage d’un hooligan
Pas de pluriel dans Oligarque
Quand je perds, dis-moi qui gagne
Je sais que je passerai pas l’hiver
Donc je savoure l’été indien, politesse, à quoi ça sert ?
Quand au fond, ça va pas bien, la tête tourne dans le tourniquet
L’envie est de tout niquer, il y a pas de blеssure éphémère
J’ai du vider tout lе Dakin, j’enchaîne les clopes et goût amer
Y a plus r dans l’magasin, dernier câlin à nouvelle keh
J’baisse le rideau, ciao pantin, j’vis comme dans un mauvais polar
La télé reste allumé, je connais déjà la fin de l’histoire
La vida jouera en replay, corazón bat plus la mesure
Le bonheur est inodore, y a des taches sur la peinture
Les coups de shlass sont indolores, l’ambitieux n’a pas d’allié
Je compte mon khaliss dans le RS, mauvais œil est activé
Dans l’boomer, j’veux pas que le son cesse
Je baise cette tchoin d’un amour sincère quand j’tiens ses fesses silliconées
Sa pipe ne m’fait plus d’effet comme un zdeh de CBD
Les yeux rivés sur le satellite, astra pour me localiser
Bambin a froid en Afrique, la kichta pour le réchauffer
Verre de Pétrus à la main, poupées russes du soir au matin
Si j’ai perdu le sommeil, c’est que je ne rêve plus à rien
La nuit, j’caillasse des soleils depuis mon métro aérien
Si je mets ma vie en bouteille, peut-être que mes larmes l’emmèneront au loin
Nous vécûmes mésaventures, les baskets à l’envers
J’vais crever en sale ordure, je suivrai les pas de mon père
Je vais dans le mur à vive allure, j’reste sur l’manège malgré la gerbe
Les bosses sont grosses sa mère la pute, enfant perdu j’en connais qu’un
Enfant perdu j’en connais qu’un
Enfant perdu j’en connais qu’un