Letra de Africain
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Le soleil les astres du ciel témoignent du désastre
Et les esprits africains observent nos massacres
Les vents s’acharnent à couvrir notre histoire de poussière
Et les esprits africains observent nos massacres
Les vents s’acharnent à couvrir notre histoire de poussière
De voile de viol de mort et d’arbitraire
Les ombres du passé ne veulent pas disparaitre
D’une Algérie se meurt dans notre entre de l’être
Les ombres du passé ne veulent pas disparaitre
D’une Algérie se meurt dans une notre entre de l’être
Dans ma nuit je cris, j’appel des esprits
Les cris les hommes autour de moi tout est détruit
Dans ma nuit je cris, j’appel des esprits
Les cris les hommes autour de moi tout est détruit
Matrice les chemine malgré les mirages du désert
Mais c’est pas le sable qui brule nos beaux cœurs
Ce qui nous aveugle sa n’est pas la lumière
Et se qui nous tues ne s’appel pas une vipère
L’Algérie s’anime et coule en nous comme un fleuve
Ou des chiens s’abreuvent et laissent leurs odeurs
L’Algérie s’anime et coule en nous comme un fleuve
Ou des chiens s’abreuvent et laissent leurs odeurs
Dans ma nuit je cris, j’appel des esprits
Les cris les hommes autour de moi tout est détruit
Dans ma nuit je cris, j’appel des esprits
Les cris les hommes autour de moi tout est détruit
J’ai dans les yeux les larmes de mon grand père
Et j’ai dans le ventre la rage de mercenaire
J’ai dans la poitrine des battements de tambours
Et mes jambes ne pratiquent pas le demi-tour
Une seule route existe à travers ce désert
Un seul souffle sur terre pour parler ou se taire
Une seule route existe à travers ce désert
Un seul souffle sur terre pour parler ou se taire
Dans ma nuit je cris, j’appel des esprits
Les cris les hommes autour de moi tout est détruit
Dans ma nuit je cris, j’appel des esprits
Les cris les hommes autour de moi tout est détruit
(Merci à Mohammed Saidi pour cettes paroles)
Les ombres du passé ne veulent pas disparaitre
D’une Algérie se meurt dans notre entre de l’être
Les ombres du passé ne veulent pas disparaitre
D’une Algérie se meurt dans une notre entre de l’être
Dans ma nuit je cris, j’appel des esprits
Les cris les hommes autour de moi tout est détruit
Dans ma nuit je cris, j’appel des esprits
Les cris les hommes autour de moi tout est détruit
Matrice les chemine malgré les mirages du désert
Mais c’est pas le sable qui brule nos beaux cœurs
Ce qui nous aveugle sa n’est pas la lumière
Et se qui nous tues ne s’appel pas une vipère
L’Algérie s’anime et coule en nous comme un fleuve
Ou des chiens s’abreuvent et laissent leurs odeurs
L’Algérie s’anime et coule en nous comme un fleuve
Ou des chiens s’abreuvent et laissent leurs odeurs
Dans ma nuit je cris, j’appel des esprits
Les cris les hommes autour de moi tout est détruit
Dans ma nuit je cris, j’appel des esprits
Les cris les hommes autour de moi tout est détruit
J’ai dans les yeux les larmes de mon grand père
Et j’ai dans le ventre la rage de mercenaire
J’ai dans la poitrine des battements de tambours
Et mes jambes ne pratiquent pas le demi-tour
Une seule route existe à travers ce désert
Un seul souffle sur terre pour parler ou se taire
Une seule route existe à travers ce désert
Un seul souffle sur terre pour parler ou se taire
Dans ma nuit je cris, j’appel des esprits
Les cris les hommes autour de moi tout est détruit
Dans ma nuit je cris, j’appel des esprits
Les cris les hommes autour de moi tout est détruit
(Merci à Mohammed Saidi pour cettes paroles)
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