Letra de Depuis Septembre
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Elles sont mortes depuis septembre
Les belles roses de l'été
Pleure mon cur dessus les cendres
Les belles roses de l'été
Pleure mon cur dessus les cendres
De ce qui ne fut qu'un été
Paris frissonne sous décembre
Plus le moindre sourire à vendre
Quand j'y regarde, mes mains tremblent
C'est dur de ne plus être ensemble
J'ai vu la Seine s'enivrer
En passant par les beaux quartiers
Souillarde, elle les défiait
On vit des reines se vautrer
Sous la couche de leurs écuyers
Il paraît que ça leur plaisait
Elle est morte depuis septembre
La belle rose de notre été
Je ne sais plus à qui m'en prendre
Et je m'en prends au monde entier
Fleur de malheur, fleur de décembre
Comme tu renais de tes cendres
C'est bête à n'y plus rien comprendre
Faut-il encore s'y laisser prendre ?
J'avais construit tant de châteaux
En Espagne, au Monténégro
J'avais trouvé l'Eldorado
Et je redoute les matins
Mon horizon peau de chagrin
Se rétrécit au fil de l'eau
Elle est morte depuis septembre
La belle rose de notre été
Pleure mon cur dessus la cendre
De ce qui ne fut qu'un été
Paris frissonne sous décembre
Plus le moindre sourire à vendre
Quand j'y regarde, mes mains tremblent
C'est dur de ne plus être ensemble
Les plus beaux rêves s'évaporent
Aux premières lueurs du jour
J'avais tant à t'aimer encore
Ô mon inoubliable amour
(Merci à alexandru pour cettes paroles)
Paris frissonne sous décembre
Plus le moindre sourire à vendre
Quand j'y regarde, mes mains tremblent
C'est dur de ne plus être ensemble
J'ai vu la Seine s'enivrer
En passant par les beaux quartiers
Souillarde, elle les défiait
On vit des reines se vautrer
Sous la couche de leurs écuyers
Il paraît que ça leur plaisait
Elle est morte depuis septembre
La belle rose de notre été
Je ne sais plus à qui m'en prendre
Et je m'en prends au monde entier
Fleur de malheur, fleur de décembre
Comme tu renais de tes cendres
C'est bête à n'y plus rien comprendre
Faut-il encore s'y laisser prendre ?
J'avais construit tant de châteaux
En Espagne, au Monténégro
J'avais trouvé l'Eldorado
Et je redoute les matins
Mon horizon peau de chagrin
Se rétrécit au fil de l'eau
Elle est morte depuis septembre
La belle rose de notre été
Pleure mon cur dessus la cendre
De ce qui ne fut qu'un été
Paris frissonne sous décembre
Plus le moindre sourire à vendre
Quand j'y regarde, mes mains tremblent
C'est dur de ne plus être ensemble
Les plus beaux rêves s'évaporent
Aux premières lueurs du jour
J'avais tant à t'aimer encore
Ô mon inoubliable amour
(Merci à alexandru pour cettes paroles)
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