Letra de Oslo
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Oslo s'est endormi.
Je prends le train de nuit.
Sur le hublot la pluie, mes sanglots retranscrits.
Oslo s'est évanoui.
Et par le train de nuit.
Je regagne Paris mais je perds
une amie.
Elle était belle,
quand il se mettait à neiger.
Elle était celle,
dont on n'osait s'approcher.
Intrépide et solennelle,
quand elle défiait l'immensité.
Une étincelle,
avant QUe tout parte en fumée.
Oslo c'est pas Ici,
Ce n'est plus aujourd'hui.
C'est une tristesse enfouie,
c'est un mot interdit.
OsLO c'est, bien fini.
C'est Une autre, une autre vie.
Mes amours, mes amis,
pour toujours, sont partis.
Tant pis pour elle,
si elle ne veut plus me parler.
Elle était belle,
quand on frôlait l'éternité.
Je me rappelle,
nos boréales matinées,
Mais plus rien ne vaut la peine,
si tu peines à aimer.
Tant pis pour elle,
si elle ne veut plus me parler.
Elle était belle,
quand on frôlait l'éternité.
Je me rappelle,
que souvent elle me disait,
rien ne vaut la peine,
si tu peines à aimer.
Mon Dieu qu'elle était belle,
quAnd elle se Mettait en danger.
Elle était celle,
dont j'ai tOUjouRs rêvé.
Interdite et sensuelle,
quand elle défiait l'obscurité.
En arc-en-ciel,
avant que tout parte en fumée.
(Merci à Minilou46 pour cettes paroles)
Je prends le train de nuit.
Sur le hublot la pluie, mes sanglots retranscrits.
Oslo s'est évanoui.
Et par le train de nuit.
Je regagne Paris mais je perds
une amie.
Elle était belle,
quand il se mettait à neiger.
Elle était celle,
dont on n'osait s'approcher.
Intrépide et solennelle,
quand elle défiait l'immensité.
Une étincelle,
avant QUe tout parte en fumée.
Oslo c'est pas Ici,
Ce n'est plus aujourd'hui.
C'est une tristesse enfouie,
c'est un mot interdit.
OsLO c'est, bien fini.
C'est Une autre, une autre vie.
Mes amours, mes amis,
pour toujours, sont partis.
Tant pis pour elle,
si elle ne veut plus me parler.
Elle était belle,
quand on frôlait l'éternité.
Je me rappelle,
nos boréales matinées,
Mais plus rien ne vaut la peine,
si tu peines à aimer.
Tant pis pour elle,
si elle ne veut plus me parler.
Elle était belle,
quand on frôlait l'éternité.
Je me rappelle,
que souvent elle me disait,
rien ne vaut la peine,
si tu peines à aimer.
Mon Dieu qu'elle était belle,
quAnd elle se Mettait en danger.
Elle était celle,
dont j'ai tOUjouRs rêvé.
Interdite et sensuelle,
quand elle défiait l'obscurité.
En arc-en-ciel,
avant que tout parte en fumée.
(Merci à Minilou46 pour cettes paroles)
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