Jeanne Gabrielle

Saisons
Je marche dans la ville, En contournant ses pas. Fragile, en plein exil, Je souris quand je vois L’éclat de lune de sa peau fine, Et sur sa bouche, j’ai déposé Une caresse comme un soleil Que je lui donne du bout des doigts. Au cœur des rues, la foule, Moi, je ne vois que toi. Charmée, je me recule Pour contempler l’aura Que tu dégages et qui m’amène Là où je n’m’aventurais pas. Nous marchons sur des cendres chaudes, Avec l’avenir entre nos bras. Un court instant, je me retiens, Tu poses tes lèvres sur ma main. Mon cœur s’emballe et tremble soudain, soudain, Je brûle, je perds la raison. Malgré le feu, tu restes calme, Tu sais que j’effacerai tes larmes. Ton cœur s’emballe et tremble soudain, soudain, Plus fort, défilent les saisons. Letras de canciones Si un jour tu songes à partir, Garde l’ivresse des souvenirs. Et me chercheras-tu encore ? À deux, plus forts, défilent les saisons. Si un jour tu songes à partir, Garde l’ivresse des souvenirs. Et me chercheras-tu encore ? À deux, plus forts, défilent les saisons. J’ai eu peur, j’ai eu peur Qu’un cœur aride et froid T’enrobe de rancœur, Te laisse un goût d’effroi. Et en plein doute, j’ai pris la route, Celle qui m’a menée jusqu’à toi. Soudain, je goûte en plein virage À l’air sauvage, je n’ai plus froid. Sous une peau de velours, Je frémis à présent. Nous prendrons des détours Pour profiter du temps, Qui file et passe comme une étoile, Comme un éclair en un instant. C’est pour mieux rire, j’veux tout saisir Et ne plus penser qu’au présent. Un court instant, je me retiens, Tu poses tes lèvres sur ma main. Mon cœur s’emballe et tremble soudain, soudain, Je brûle, je perds la raison. Malgré le feu, tu restes calme, Tu sais que j’effacerai tes larmes. Ton cœur s’emballe et tremble soudain, soudain, Plus fort, défilent les saisons. Si un jour tu songes à partir, Garde l’ivresse des souvenirs. Et me chercheras-tu encore ? À deux, plus forts, défilent les saisons. Si un jour tu songes à partir, Garde l’ivresse des souvenirs. Et me chercheras-tu encore ? À deux, plus forts, défilent les saisons. Un court instant, je me retiens, Tu poses tes lèvres sur ma main. Mon cœur s’emballe et tremble soudain, soudain, Je brûle, je perds la raison. Malgré le feu, tu restes calme, Tu sais que j’effacerai tes larmes. Ton cœur s’emballe et tremble soudain, soudain, Plus fort, défilent les saisons. From Letras Mania