Print

Parfois je hai ce que je suis devenu, parfois je suis ce que tu es, je te suis pas à pas dans l'absolu. Mot à mot, à la lettre, avant de disparaître, entre les lignes que le temps efface. Quand je rentre tard, à travers le brouillard, dans le petit matin pâle, un peu hagard. Quand je me perds au fond de ma conscience, il y a ton regard ...... et puis le silence. Parfois je hai ce que je suis devenu, parfois je suis ce que tu es, je te suis pas à pas dans l'absolu. Mot à mot, à la lettre, avant de disparaître, entre les lignes que le temps efface. Comme un singe dvant la glace, j'apprend de nouvelles grimaces ; le fou du roi, fou de la reine voudrais qu'on le comprenne. J'voudrais que tu me pardonnes, peut-être que je t'ai cherché trop loin, au fond de la nuit ; accepter, accepter l'oubli. Emigré à moitié nu dans ce monde inconnu ; on a jeté nos habits, to be or not to be. Hiver comme été, solidaire ou exclu, ce qu'on a été ..... on ne le sera plus ! Parfois je hai ce que je suis devenu, entre les lignes que le temps efface. (Merci à MUNEROT Stephen pour cettes paroles) From Letras Mania